Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 382 pages
Poids : 467 g
Dimensions : 16cm X 24cm
ISBN : 978-2-268-06391-1
EAN : 9782268063911
Le livre noir du libéralisme
crise boursière, chômage, précarité, sécurité sociale, retraites, éducation, salaires...
Quatrième de couverture
¤ Le livre noir du libéralisme
Chiffres à l'appui, Pierre Larrouturou démonte les mécanismes et les dangers du libéralisme : dans tous les pays qui ont mis en place une politique de ce type, États-Unis et Chine compris, la précarité explose, le niveau de vie des salariés diminue, l'accès à la santé est de plus en plus difficile. Et la croissance ne se maintient qu'au prix d'un endettement privé qui atteint un niveau insoutenable. Non seulement le libéralisme n'est pas la panacée, mais il peut, assez vite, nous mener à la catastrophe. « La crise des années 30 est devant nous », affirment certains économistes.
Qu'en est-il pour la France ? Sur le chômage et les retraites, l'auteur dénonce les mensonges du bilan affiché par l'UMP. De façon très argumentée, il démasque les impasses et les dangers de la stratégie économique de Nicolas Sarkozy.
¤ Construire une alternative
Loin des idées répandues par la droite, Larrouturou met en évidence les performances françaises en termes de compétitivité et dessine un nouveau contrat social. Car, si le système économique mondial menace de s'effondrer, il y a urgence à construire une alternative. Si la gauche ne le fait pas, n'est-elle pas complice du système ?
¤ Qu'est-ce qui bloque ?
Pierre Larrouturou est rentré au PS après le 21 avril 2002. Ce qu'il raconte sur le fonctionnement réel de la rue de Solférino ne fera pas plaisir à tout le monde... Là aussi, l'analyse est sans tabou et pourrait conduire au pessimisme.
Mais Larrouturou ne se contente pas de critiquer : il propose des solutions et un véritable plan d'action.
« Pierre Larrouturou exprime le savoir considérable qu'il a accumulé sur l'état de l'économie contemporaine, et c'est déjà très important. Il crie aussi son angoisse. Et je partage cette angoisse. »
Michel Rocard