Le mas noir

Vincent Pérez Le mas Noir

Dans ce roman, Le mas Noir, Vincent Pérez évoque un monde désormais disparu, celui de la vie rurale soumise au rythme des travaux des champs, dans un village du Roussillon pendant la première moitié du XX^e siècle.

Semblables à la tramontane qui souffle, cinglantes et dévastatrices les éternelles passions et les intérêts, parfois sordides, s'entrecroisent, représentés par une série de personnages aux caractères durs, impitoyables, qui créent un climat sombre.

Une femme, cependant, se détache au milieu de cette noirceur : la douce et à la fois réaliste Angeline.

« Michel Adroher ouvre pour tous les portes de cet art poétique qui a aboli les frontières pour parvenir intact jusqu'à nous. Et l'oubli injuste dans lequel étaient tombés la plupart de ces poètes est désormais réparé. Pour notre plus grande joie de lecteurs ! »
Serge Bonnery
L'Indépendant, 17 décembre 2012

« Seul l'amour a inspiré les troubadours roussillonnais. Toutes leurs oeuvres sont publiées dans ce livre, en occitan et en français, avec, pour la plupart, leur musique. Un ouvrage qui préserve jusqu'au bout le plaisir de la lecture.
Michel Adroher aime la poésie et ceux qui la lisent. C'est son côté troubadour. »
Bernard Revel
La Semaine du Roussillon, 13 janvier-6 février 2013

« Michel Adroher explore les rapports de dépendance et d'influence qui se sont tissés du XII^e au XV^e siècle entre les littératures française, catalane et occitane. Son livre, Les troubadours roussillonnais,est le premier consacré à ces poètes.
Un ouvrage d'érudition, écrit dans une belle langue très lisible. »
Yvette Lucas
Le Travailleur catalan, 29 mars-4 avril 2013

« Avec son recueil de nouvelles Rue du Soleil, François Bernadi a donné à sa mémoire de Collioure et de « sa » Méditerranée une dimension universelle. Parlant des siens, il parle à tous les hommes. Avec la joie pure de l'enfant qui n'a rien oublié».
Serge Bonnery
L'Indépendant, 20 août 2013

« Les treize nouvelles composant Rue du Soleil décrivent un monde qui n'existe plus mais qui, quand Bernadi l'a croqué, était immuable depuis des siècles. L'ensemble est inégal, mais avec des fulgurances d'écriture, un art de camper les personnages qui rendent certaines scènes inoubliables. Bref, un auteur à (re)découvrir »
Daniel Garcia
Livres Hebdo, 30 août 2013

« Ce recueil de nouvelles, je l'avais lu à la fin du siècle dernier. J'en gardais le souvenir d'un chose précieuse parce que rare en littérature, qu'on pourrait appeler poésie modeste comme il y a des arts modestes.
Non seulement le livre n'a pas vieilli mais il garde, par la seule limpidité d'un style sans fausse note une fraîcheur étonnante ».
Bernard Revel
La Semaine du Roussillon, 24-30 octobre 2013