Rayon Occultisme
Le nombre d'or : maître des destins : de Nostradamus, de tout homme, de l'humanité

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 175 pages
Poids : 250 g
Dimensions : 15cm X 23cm
ISBN : 978-2-910056-26-1
EAN : 9782910056261

Le nombre d'or

maître des destins
de Nostradamus, de tout homme, de l'humanité


Paru le
Broché 175 pages

Quatrième de couverture

Le nombre d'or maître des destins

De Nostradamus, de tout homme, de l'humanité

Le 13 juillet 2021, un ami annonça à Christian Turpin une « révélation » inouïe : « Les dates de naissance de Nostradamus en 1503, la sienne en 1943 et la date de Fin des Temps en 2215, prédite par Nostradamus et décodée par lui, se suivent dans la proportion harmonique du Nombre d'Or ».

Cette association arithmétique était inouïe, car elle prouvait que notre destin est prévu d'avance, structuré par des nombres. Cela pose donc la question du déterminisme et du libre arbitre.

Dans ce livre, l'auteur explique ce qu'est le Nombre d'Or et son importance dans la nature et l'univers où sa présence est partout. Puis il parle des recherches qui s'ensuivirent, sur les Nombres Premiers et transcendants, et qui furent tout aussi inouïes.

Ces recherches montrent que, non seulement la fin de l'humanité était liée au Nombre d'Or, mais que la vie de Nostradamus l'était aussi, y compris la date de sa mort en 1566, à l'âge de 63 ans.

Mais l'auteur s'y trouva lui aussi impliqué encore plus qu'il n'imaginait. Aujourd'hui âgé de 78 ans, il se posa la question pour lui-même. Pouvait-il, via le Nombre d'Or extrapoler vers la date de sa propre mort ? Le calcul fait prévoyait son décès à 79 ans !

Or dans sa jeunesse, une voyante Rom lui avait dit : « Tu mourras à 79 ans ». Cette convergence entre voyance et calcul bouleversa l'auteur.

Devant cette échéance trop prochaine, l'auteur chercha une solution pour éviter ce déterminisme prévu à la fois par une voyante et par le Nombre d'Or. L'auteur a décodé l'oeuvre de Nostradamus, ainsi que les textes sacrés, en 16 livres publies sous son nom ésotérique Nocam, devenu son pseudonyme. Mais l'auteur est aussi créateur d'une nouvelle Théorie de l'Histoire, où un vieux sage initiateur s'est appelé Nocam, « Nocam l'Ancien ».

La seule solution qui s'avéra plausible pour dévier ce déterminisme, fut que l'auteur élimine son double « Nocam l'Ancien » en le tuant lui-même.

C'est ce qui est expliqué dans ce livre, appelé à être médiatisé.

Mais ce meurtre suffira-t-il ?

« Qui vivra verra ! »

Avis des lecteurs

Du même auteur : Christian Turpin