Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 167 pages
Poids : 230 g
Dimensions : 13cm X 20cm
ISBN : 978-2-36468-609-0
EAN : 9782364686090
Le pain perdu
Les libraires en parlent
Certains livres s'acquittent de toute critique et s'imposent simplement par la puissance de leur témoignage.
Comme son ami Primo Levi avant elle, Edith Bruck aura attendu 2020 pour nous livrer le récit de son expérience de la seconde guerre mondiale et de la déportation.
Un incontournable instantané, à lire pour ne pas oublier.
Quatrième de couverture
« Il faudrait des mots nouveaux, y compris pour raconter Auschwitz, une langue nouvelle, une langue qui blesse moins que la mienne, maternelle »
Pitié, oui, envers n'importe qui, haine jamais, c'est pour ça que je suis saine et sauve, orpheline, libre.
En moins de deux cents pages vibrantes de vie, de lucidité implacable et d'amour, Edith Bruck revient sur son destin : de son enfance hongroise à son crépuscule. Tout commence dans un petit village où la communauté juive à laquelle sa famille nombreuse appartient est persécutée avant d'être fauchée par la déportation nazie. L'auteur raconte sa miraculeuse survie dans plusieurs camps de concentration et son difficile retour à la vie en Hongrie, en Tchécoslovaquie, puis en Israël.
Elle n'a que seize ans quand elle retrouve le monde des vivants. Elle commence une existence aventureuse, traversée d'espoirs, de désillusions, d'éclairs sentimentaux, de débuts artistiques dans des cabarets à travers l'Europe et l'Orient, et enfin, à vingt-trois ans, trouve refuge en Italie, se sentant chargée du devoir de mémoire, à l'image de son ami Primo Levi.