Fiche technique
Format : Broché sous jaquette
Nb de pages : 737 pages
Poids : 778 g
Dimensions : 14cm X 21cm
ISBN : 978-2-226-22128-5
EAN : 9782226221285
Le polygame solitaire
Les libraires en parlent
Les choses de la vie ont fait de Golden Richards un mormon polygame, situation pour laquelle il n'était pas vraiment préparé. Quatre épouses et vingt-huit enfants plus tard, une entreprise de bâtiment qui boit la tasse et un chantier inavouable dans le désert, Golden se sent mal dans ses baskets : sa famille XXL est au bord de la crise de nerf, ses femmes fulminent et ses gosses font les 400 coups. Engoncé dans sa stature de "yéti", empêtré dans un incroyable écheveau de petites bassesses et de grands mensonges, Golden entre dans la tourmente les bras ballants et le coeur en berne. Pauvre Golden, c'est vraiment pas le moment de tomber amoureux, et pourtant...
Les lecteurs de Lâchons les chiens et du Miraculeux destin d'Edgar Mint (10/18) n'auront pas attendu en vain. Avec une verve inouïe et au moins une idée par page (sur 735, c'est spectaculaire), Le polygame solitaire comble tous nos espoirs et bien plus encore. Parsemé de grands éclats de rire et de petites larmes chaudes, ce roman mitraille la famille dysfonctionnelle au grand angle et donne lieu à une galerie d'inoubliables portraits dont ceux de Trish, la jeune et belle épouse délaissée et celui de Rusty, le gamin mal aimé tout en colère et en imagination truculente.
Avec un livre de cette envergure, Brady Udall peut prendre ses aises à la table des grands bonhommes de la littérature américaine, John Irving et consorts. Le polygame solitaire s'apparente à un véritable festin de mots et d'émotions !
Pour le lecteur c'est un délice mais pour les personnes concernées c'est une épreuve : la vie dans une famille mormone polygame du Nevada n'est pas de tout repos ...
Les épouses "plurales" se préparent alternativement pour le soir de visite de leur mari
Les enfants "polyg" jouissent autant qu'ils souffrent de grandir en masse crasseuse et riante
Le patriarche panique devant la tonne de décisions que sa famille araignée impose.
Brady Udall possède la qualité première de la Famille (et de l'Amour) : être toujours là où on ne l'attend pas ! Un roman-monde magistral dont on déguste l'amer, le salé et le sucré jusqu'à la dernière page.
Les choses de la vie ont fait de Golden Richards un mormon polygame, situation pour laquelle il n'était pas vraiment préparé. Quatre épouses et vingt-huit enfants plus tard, une entreprise de bâtiment qui boit la tasse et un chantier inavouable dans le désert, Golden se sent mal dans ses baskets : sa famille XXL est au bord de la crise de nerf, ses femmes fulminent et ses gosses font les 400 coups. Engoncé dans sa stature de "yéti", empêtré dans un incroyable écheveau de petites bassesses et de grands mensonges, Golden entre dans la tourmente les bras ballants et le coeur en berne. Pauvre Golden, c'est vraiment pas le moment de tomber amoureux, et pourtant...
Les lecteurs de Lâchons les chiens et du Miraculeux destin d'Edgar Mint (10/18) n'auront pas attendu en vain. Avec une verve inouïe et au moins une idée par page (sur 735, c'est spectaculaire), Le polygame solitaire comble tous nos espoirs et bien plus encore. Parsemé de grands éclats de rire et de petites larmes chaudes, ce roman mitraille la famille dysfonctionnelle au grand angle et donne lieu à une galerie d'inoubliables portraits dont ceux de Trish, la jeune et belle épouse délaissée et celui de Rusty, le gamin mal aimé tout en colère et en imagination truculente.
Avec un livre de cette envergure, Brady Udall peut prendre ses aises à la table des grands bonhommes de la littérature américaine, John Irving et consorts. Le polygame solitaire s'apparente à un véritable festin de mots et d'émotions !
Quatrième de couverture
Le polygame solitaire
Après Le Destin miraculeux d'Edgar Mint, Brady Udall raconte l'histoire exceptionnelle d'une famille non moins exceptionnelle. À quarante ans, le très mormon Golden Richards, quatre fois marié et père de vingt-huit enfants, est en pleine crise existentielle. Son entreprise de bâtiment bat de l'aile, son foyer est une poudrière minée par les rivalités et les menaces d'insurrection. Rongé par le chagrin depuis la mort de deux de ses enfants, il commence sérieusement à douter de ses qualités de père et de sa capacité à aimer. Golden Richards, tragiquement fidèle à ses idéaux, se sent seul. Mais dans le désert du Nevada, il va découvrir que l'amour est une mine inépuisable.
Porté par une verve aussi féroce qu'originale, Le polygame solitaire nous parle avec humour du désir et de la perte, de la famille et de l'amour.
« Un sérieux candidat au titre de Grand Roman Américain. »
Publishers Weekly
« Le portrait ironique et sympathique d'une famille spectaculairement dysfonctionnelle. »
The New York Times
« Brady Udall maîtrise son intrigue complexe et la psychologie de ses personnages, tout à la fois admirables et impressionnants. »
The Chicago Tribune
« Comme il l'a brillamment démontré dans Le Destin miraculeux d'Edgar Mint, Brady Udall excelle dans l'art de faire parler et penser les enfants. »
The Washington Post