Le sport à Nice dans l'entre-deux-guerres

Dès les années 1900, le sport apparaît à Nice comme une composante essentielle de la vie des niçois.

L'essor des structures sportives témoignent de la vitalité des sociétés de gymnastique, des patronages et des sociétés relatives au système éducatif. On voit apparaître le sport travailliste et corporatif. Des fédérations multiples voient le jour.

Le cyclisme et le football connaissent aussi un développement considérable.

Les sports populaires, tel que le boulisme fortement ancré dans les traditions méridionales, gardent toujours une place de choix dans le paysage sportif niçois.

Paysage sportif qui pouvait se flatter, dans l'entre-deux-guerres, de fixer sur la Côte d'Azur et à Nice, l'exercice de sports mondains tels le tennis et les sports mécaniques.

Ceux-ci, avec l'aviation et les sports d'hiver, occupaient un espace important dans la région niçoise et faisaient une partie de sa renommée.

Sports populaires et sports mondains, nulle part ailleurs qu'à Nice ces deux distinctions ne trouvaient plus leur sens dans l'entre-deux-guerres.