Le temps à soi

C'est à Pline que l'on doit le meilleur récit de l'ensevelissement de Pompéi par les laves et les cendres du Vésuve le 24 août de l'an 79, où son oncle Pline l'Ancien trouva la mort.

Sa correspondance, dans la traduction nouvelle de Daniel Stissi, est à ranger sans conteste parmi les chefs-d'œuvre de l'Antiquité.

«Le temps à soi, ce temps que la société laisse à l'individu, où l'on est libre des tâches et des tracas de la vie publique, Pline entend le consacrer à la littérature, qu'il considère comme l'art suprême.»