Rayon Christianisme
Le temps de Pentecôte : du 19 avril au 22 juillet de l'an 29 : à partir des visions d'Anne-Catherine Emmerich, des livres de Clément Brentano et de Julien Maufrais et de nombreux documents non publiés de Julien Maufrais

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 140 pages
Poids : 234 g
Dimensions : 16cm X 23cm
ISBN : 978-2-8127-1074-2
EAN : 9782812710742

Le temps de Pentecôte

du 19 avril au 22 juillet de l'an 29
à partir des visions d'Anne-Catherine Emmerich, des livres de Clément Brentano et de Julien Maufrais et de nombreux documents non publiés de Julien Maufrais


Collection(s) | L'Evangile provençal
Paru le
Broché 140 pages

Quatrième de couverture

Le temps de Pentecôte

Le désir de s'adresser à ceux qui vivent dans le monde de l'athéisme, qui a longtemps été le mien, sera présent dans le livre Le Temps de la Passion. C'est également pour eux que fut écrit Le Temps de Pentecôte. Entre le dimanche de Pâques (la Résurrection et l'entretien avec Marie-Madeleine) et l'Ascension, il y a eu des apparitions du Seigneur à diverses personnes et en des lieux différents pendant... quarante jours. Avec, en point d'orgue, le jeudi 28 mai de l'an 29, l'Ascension, depuis le sommet du mont des Oliviers, reproduit en page de couverture.

Dix jours après l'Ascension, le dimanche 7 juin de l'an 29, ce fut la Pentecôte. Voici comment elle commença : « Vers le matin, du mont des Oliviers, et de l'endroit même d'où le Sauveur avait quitté le sol pour le début de Son Ascension, Anne-Catherine Emmerich vit un nuage argenté et lumineux s'abattre du ciel sur le mont Sion et sur le Cénacle. D'abord, à distance, elle vit une sorte de globe qui semblait mis en mouvement par un courant chaud et bienfaisant. Plus le nuage approchait de la terre, plus il semblait se développer. Ensuite, elle vit tomber sur la ville entière, mais particulièrement sur le mont des Oliviers et sur le Cénacle, une masse énorme de lumière qui sembla se condenser et devenir en même temps plus transparente ; quand elle s'arrêta, on aurait dit un soleil projetant ses feux dans toutes les directions. En même temps, un vent violent commença à se lever ».

À la fin du XVIIIe siècle et dans le premier quart du XIXe siècle, Anne-Catherine Emmerich rencontrait le plus souvent de l'indifférence ou des moqueries lorsqu'elle parlait de ses visions aux autres religieuses ou à ses supérieurs ; lassée de cette hostilité, elle avait prié Dieu de vouloir bien « lui retirer les visions ». Alors, son guide lui répondit : « Tu ne peux pas calculer le nombre de gens qui liront cela un jour, et dont les âmes seront consolées, ranimées et portées au bien. Ce que tu pourras raconter sera mis en oeuvre d'une façon suffisante et pourra faire beaucoup de bien dont tu n'as pas idée. »

Avis des lecteurs

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