Rayon Archéologie historique et épigraphie
Le terroir de Paris : aux époques gallo-romaine et franque : peuplement et défrichement dans la civitas des Parisii, Seine, Seine-et-Oise

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : XIV-491 pages
Poids : 968 g
Dimensions : 16cm X 24cm
ISBN : 978-2-7084-0812-8
EAN : 9782708408128

Le terroir de Paris

aux époques gallo-romaine et franque
peuplement et défrichement dans la civitas des Parisii, Seine, Seine-et-Oise


Paru le
Broché XIV-491 pages
préface Albert Grenier
Public motivé

Quatrième de couverture

«Le but de cette étude est de décrire les origines du peuplement et du défrichement dans ce qui constitue aujourd'hui la banlieue parisienne ; de rechercher les origines de l'aspect extérieur du territoire actuel. Il s'agit de reconstituer la genèse du paysage et, dans ce terme, emprunté au vocabulaire pictural, nous voulons concrétiser l'oeuvre humaine au cours des siècles, la répartition des villages et des hameaux, le tracé des chemins et des routes, la séparation entre les prés, les champs et les bois. C'est à une méthode pluridisciplinaire que doit avoir recours le chercheur pour essayer de démêler l'écheveau permettant d'expliquer la genèse de l'occupation du sol et de l'histoire du peuplement. C'est par un appel à des secteurs souvent très divers des sciences exactes et des sciences humaines que le brouillard se dissipera peu à peu.»

Dans sa préface, Albert Grenier qualifiait d'«esprit doucement révolutionnaire» notre auteur alors jeune thésard. Il est vrai que Michel Roblin bouscule de nombreuses théories et méthodes. Il le fait avec un esprit aigu, une intuition qui lui permet des rapprochements au premier abord surprenants, mais avec une prudence scientifique qui le rend difficilement critiquable. Michel Roblin a rénové l'étude de la toponymie et lui a rendu l'intérêt capital qu'elle représente pour notre histoire. Il nous donne à réfléchir sur l'usage trop bien établi par les municipalités de débaptiser les noms des rues ; chaque fois, c'est un lambeau de l'histoire locale la plus épaisse qui s'en va. Au même titre que les monuments historiques, la toponymie devrait être protégée du vandalisme.

Avis des lecteurs

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