Rayon Romans historiques
Le troisième Rubicon : Forces françaises libres, 13 mai 1958, OAS Oran

Fiche technique

Format : Broché
Poids : 540 g
Dimensions : 15cm X 21cm
ISBN : 978-3-932711-76-3
EAN : 9783932711763

Le troisième Rubicon

Forces françaises libres, 13 mai 1958, OAS Oran


Collection(s) | France-Algérie
Paru le
Broché
avant-propos de Wolf Albes

Quatrième de couverture

Le Troisième Rubicon : de la Résistance à l'OAS

Cet impressionnant récit, Daniel Pouilly l'a consacré à l'histoire de son père qui a franchi le Rubicon à trois reprises :

  • d'abord en suivant l'appel de De Gaulle pour se battre dans les Forces françaises libres du général Leclerc jusqu'à la Libération ;
  • ensuite, lors de l'insurrection de mai 1958 en Algérie, pour se joindre à l'appel au « plus illustre des Français », censé mettre fin au terrorisme totalitaire du FLN ;
  • enfin, face à la trahison de De Gaulle, pour participer au combat de l'OAS, seul moyen de défendre les siens contre la mort et l'exil.

Contre la falsification de l'histoire

Reparler de cette période, cela faisait mal à mon père. L'amertume de la défaite, celle de l'Algérie perdue, mais surtout celle de la falsification de l'histoire, honteuse, abjecte, déshonorante : les mensonges et la calomnie qui faisaient passer les Pieds-Noirs pour des fascistes et des assassins, l'armée française pour une bande de tortionnaires, la colonisation pour une oeuvre destructrice, les terroristes du FLN et leurs soutiens français pour des parangons de vertu et d'humanisme.

Daniel Pouilly : « Voilà ce que c'était, l'OAS... »

« À nous de prendre la plume pour évoquer le drame de l'abandon de l'Algérie, dû à un pouvoir sans scrupules, pressé d'en finir à n'importe quel prix, tout en trahissant ses ressortissants et en les livrant à ses ennemis totalitaires et islamistes.
Je voudrais faire comprendre nos souffrances et notre angoisse face au terrorisme du FLN, mais aussi notre détermination à nous défendre jusqu'au bout, puisque personne ne l'a fait pour nous.
Je voudrais que ceux qui lisent ce récit n'oublient jamais ceci : un peuple menacé d'exil et de mort, des hommes et des femmes sur qui planent l'égorgement, le viol, l'enlèvement et qui se rassemblent pour se défendre, voilà ce que c'était, l'OAS. »

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