Le vivant, entre science et marché

La biologie est écartelée entre besoins de connaissance, besoins sociaux, et pressions libérales (marchandisation). Des biologistes, un sociologue, un philosophe, s'interrogent sur les dysfonctionnements dans les rapports entre biologie et société, tentent d'en cerner les causes au niveau des politiques de la recherche française et européenne, et de comprendre leur articulation avec l'épistémologie de la biologie et la sociologie des technosciences. Une autre façon de mener les recherches en biologie est-elle possible ? Des pistes sont proposées au niveau d'une nouvelle culture démocratique qui reste à inventer.

Pour donner à lire la diversité des approches, dans l'unité d'un dessein commun, ce livre, qui s'appuie sur un travail de recherche mené dans le cadre d'Espaces Marx, est intermédiaire entre un ouvrage collectif et une série d'articles individuels.