Rayon Alpinisme, escalade, spéléologie
Les conquérants de l'inutile

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 434 pages
Poids : 566 g
Dimensions : 16cm X 21cm
ISBN : 978-2-35221-230-0
EAN : 9782352212300

Les conquérants de l'inutile


Collection(s) | Collection Guérin
Paru le
Broché 434 pages
préface de Jean-Christophe Rufin
Tout public

Quatrième de couverture

Les Conquérants de l'inutile

Alpiniste légendaire, héros de l'Annapurna, Lionel Terray est l'auteur d'une autobiographie qui demeure, aujourd'hui encore, un livre incontournable de la littérature de montagne. Plus qu'un récit d'alpinisme, c'est le livre d'une vie. Une vie marquée par l'engagement pour et par la montagne.

Aux critiques de son père qui ne comprend pas cette activité consistant à se hisser sur des montagnes au sommet desquelles l'on ne trouve « pas seulement un billet de 100 francs », Lionel oppose la gratuité du jeu, l'éloge de l'inutile. Il assouvit sa soif de grimper sur les plus hauts sommets des Alpes, puis en Himalaya, et devient un géant de l'alpinisme mondial.

Au-delà des drames qui font battre le coeur, ce livre est un grand texte sur la passion et les hommes qui sont brûlés par elle.

Biographie

Lionel Terray est né le 25 juillet 1921. Entant d'une famille bourgeoise de Grenoble, son père place en lui d'autres ambitions que montagnardes. Mais le jeune Lionel se passionne très tôt pour le ski, puis pour l'alpinisme.
En rupture avec la société dont il est issu, il deviendra guide-paysan, basé aux Houches. Après son mariage avec Marianne, l'alpinisme de haut niveau prend une part de plus en plus importante dans sa vie. La cordée qu'il forme avec Louis Lachenal devient la plus forte du moment. Ensemble, il font la seconde ascension de la redoutable face nord de l'Eiger et battent des records de rapidité et de virtuosité, notamment au Piz Badile. En 1950, Lionel Terray jouera un rôle décisif lors de l'ascension de l'Annapurna. Il deviendra ensuite l'un des plus brillants chefs d'expédition sur les montagnes du monde. Jusqu'à sa mort accidentelle dans le Vercors, le 19 septembre 1965, il demeurera fidèle à ses utopies de jeunesse et la montagne restera un terrain d'engagement, de fraternité et de générosité.

Avis des lecteurs

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