Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 350 pages
Poids : 384 g
Dimensions : 14cm X 22cm
ISBN : 978-2-36719-025-9
EAN : 9782367190259
Les derniers jours du disco
Les libraires en parlent
Sortez la boule à facettes et dansez dans le New York des années 80.
Whit Stillman adapte son propre film en livre avec un génial procédé narratif : c'est l'un de ses personnages qui devient narrateur et restitue la réalité derrière l'oeuvre avec encore plus de vitalité (à tel point que le film en est réduit au rang de simple accéssoire du roman et qu'il n'est nul besoin de l'avoir vu).
Un surpenant livre 2 en 1, à la fois film et roman !
Quatrième de couverture
Jimmy Steinway et Whit Stillman dans les années 1990.
Au début des années 1980 à Manhattan, la fête bat son plein. Toute la ville veut entrer au Club, le temple du disco. C'est là que Charlotte et Alice, deux ravissantes jeunes diplômées qui essaient de percer dans le monde de l'édition, retrouvent Dez, Josh, Tom et Jimmy Steinway - le « publicitaire dansant ». La culture de la nuit atteint, cette année-là, des sommets d'euphorie. Mais le chassé-croisé des intrigues, des rivalités amoureuses et des ambitions professionnelles, peu à peu va menacer l'harmonie de leur groupe...
Vingt ans plus tard, Jimmy Steinway revisite avec nostalgie ces « derniers jours du disco » : « L'histoire relatée dans ce roman a déjà fait l'objet d'un film. Bien souvent les gens dont la vie devient le sujet d'un film ou d'un livre pinaillent sur la manière dont ils sont représentés, contestent la façon dont le scénariste ou l'auteur a transposé la réalité, etc., etc. Pas nous. Chacun d'entre nous, hormis Charlotte, a adoré le film - et ça n'étonnera personne : tous les bons critiques de la planète l'ont aimé aussi (à l'exception de quelques-uns). L'accueil qui lui a été réservé nous concernait d'ailleurs au premier chef : nous étions les personnages que ces plumitifs, dont ce fameux crétin du journal de San Diego, avaient trouvés si antipathiques. Quelle idée ! Charlotte mise à part, nous n'avions rien d'antipathique, surtout à l'époque. »
« Miraculeux et inespéré... dans l'élégante lignée des romans d'Edith Wharton et de Francis Scott Fitzgerald. » - The American Spectator
« Beau à couper le souffle. » - The Washington Post