Rayon Littérature française
Les disparus

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 304 pages
Poids : 253 g
Dimensions : 13cm X 19cm
EAN : 9782752901156

Les disparus


Collection(s) | Libretto
Paru le
Broché 304 pages

Les libraires en parlent

Quand j'ai raconté à mes parents que Casimir était parti en pèlerinage, ils ont déclaré : "on gagne d'abord sa vie, on part en pèlerinage après." C'est à voir.

Ainsi commence ce formidable roman du "promeneux" des Ardennes, par une disparition dans les environs du très commun village de Someperce. Son ami Maximin, comptable sans envergure va battre la campagne à sa recherche, et comme un chemin en appelle un autre, va se perdre dans les conjectures d'une aventure toute de guingois, et faire d'étonnantes rencontres, l'air de ne pas y toucher. "Méfiez-vous de Dhôtel" nous alerte Henri Thomas, car il n'a pas son pareil pour dissimuler des trésors égarés sous notre nez.

Quatrième de couverture

Les Disparus

Rien de particulier ne signale le village de Someperce, si ce n'est peut-être la forêt alentour : bonheur des gamins qui s'y perdent à plaisir, mais s'y retrouvent toujours.

D'où vient alors que cet été-là plusieurs jeunes gens de l'endroit y disparaisse sans laisser de traces - et parmi eux l'aimable Casimir ?

Son ami Maximin le comptable va tenter d'éclairer le mystère, qui au fur et à mesure de sa recherche ne cessera bizarrement de s'embrouiller. Il est question de deux familles enrichies à l'occasion de trafics peut-être louches, d'un châtelain assassiné avant la guerre, d'une clairière où il vaut mieux ne pas s'aventurer - et d'une fille qui n'en fait qu'à sa tête... ce qui est peut-être la meilleure façon de tourner celle des garçons.

« L'aventure, écrit Dhôtel à propos de ce roman auquel il tenait beaucoup, est touffue comme la forêt, au sein de laquelle on se perd avec horreur et émerveillement. Aussi la lecture devient-elle un jeu complexe où la curiosité, le silence, la peur et on ne sait quelle joie obscure se trouvent inextricablement mêlés. »

Biographie

André Dhôtel (1900-1991) : « Méfiez-vous de Dhôtel, aimait à dire Henri Thomas, méfiez-vous de sa redoutable simplicité. » Est-ce à force de se méfier qu'on l'a oublié ? Jean Paulhan, qui fut son éditeur, assurait que la postérité, malgré ses célèbres caprices, rangerait un jour les livres de Dhôtel au seul rang qu'ils méritaient : le premier.

Avis des lecteurs

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