Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 423 pages
Poids : 565 g
Dimensions : 16cm X 25cm
EAN : 9782749105246
Les enfants assassins
des tueurs de 5 à 15 ans
Quatrième de couverture
Autodidacte maladivement curieux, grand voyageur, encyclopédiste du bizarre, archéologue du pire, briseur de tabous, rien n'arrête Martin Monestier dans sa quête de l'étrange, du scandaleux et de l'occulte.
Livre après livre, cet enquêteur de l'extrême pousse l'érudition des incongruités et des extravagances humaines à son comble, et il nous révèle une histoire du monde telle qu'on ne l'a jamais écrite. Entomologiste de nos comportements, de nos travers, de nos perversités, Martin Monestier s'est fait une spécialité du témoignage par KO. C'est le cas cette fois encore avec cet hallucinant document sur les enfants assassins.
Ses nombreux ouvrages, au carrefour des sciences humaines et du journalisme, sont tous des livres de référence, sans cesse réédités et traduits en de nombreuses langues.
Des enfants âgés de 5 à 15 ans deviennent des assassins, sans pitié ni retenue, commettant des crimes atroces, dont on ne peut généralement pas percer les secrets et les mobiles profonds et véritables.
Partout dans le monde, et particulièrement dans les pays industriels, des enfants et des jeunes adolescents, souvent après une longue préméditation, tuent d'autres enfants ou des adultes et, dans de nombreuses circonstances, leurs propres parents.
Tueries tellement inimaginables que, souvent, le sens commun repousse dans un premier temps leur authenticité. À travers une multitude de cas précis, relevés ces vingt dernières années, Martin Monestier tente d'approcher au plus près ces criminels juvéniles qui «tuent au détail» ou «massacrent en gros». Comment naît, chez eux, l'idée de tuer ? Quel en est le germe ? Pourquoi et comment passant-ils à l'acte ?
On retrouve chez les jeunes mineurs assassins les mêmes motivations, futiles ou profondes, et les mêmes modes opératoires que chez les criminels adultes. Comme eux, les jeunes assassins font preuve de remords ou au contraire d'insensibilité, voire de satisfaction et de fierté.
Psychiatres, sociologues, juges, avocats, policiers, politiciens, parents, s'affrontent à leur sujet. Sont-ils un pur produit de notre civilisation ? Sont-ils «fabriqués» par les médias et le désengagement des familles ? Sont-ils des malades mentaux ? Souffrent-ils de troubles génétiques ? Ou, au contraire, la violence meurtrière de ces tueurs précoces est-elle innée, et dans ce cas ne sont-ils alors que les éclaireurs avancés de l'intrinsèque malfaisance qui habiterait la nature humaine ?