Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 331 pages
Poids : 405 g
Dimensions : 14cm X 21cm
ISBN : 978-2-8126-0927-5
EAN : 9782812609275
Les fugueurs de Glasgow
Les libraires en parlent
Enorme coup de coeur !
Traversant l'histoire de l'Angleterre et de l'Ecosse entre aujourd'hui et les Sixties, Peter May bâti le temps d'un roman l'histoire d'une génération rêveuse, pleine d'espoirs et dépassée par la modernisation galopante de son époque.
Un récit fort qui vous entraîne au rythme des Kinks et des Beatles pour une fugue rock et désespérée !
Quatrième de couverture
C'étaient les sixties. Une génération décidée à bousculer l'horizon s'engageait dans une décennie d'aventures et d'expériences nouvelles. Et ils étaient cinq, cinq gamins de Glasgow, grandis dans des familles modestes et réunis par l'amour du rock. Au son des Stones et des Kinks, de cette musique révolutionnaire, violente et romantique qui déferlait sur le Royaume-Uni, ils décidaient de fuir jusqu'à Londres, cette ville inconnue qu'ils appelaient «The Big Smoke» et où les attendait, ils en étaient convaincus, le plus brillant des destins. Ils étaient cinq et seuls trois d'entre eux revinrent à Glasgow avant même que finisse cette année 1965. Pour eux, rien ne fut jamais plus comme avant.
Cinquante ans plus tard, un meurtre brutal va sortir trois vieux Écossais de leurs existences finissantes dans un ultime acte d'amitié. Revenant sur les pas de leur adolescence et de la fugue qui les emporta, à dix-sept ans, vers de cruelles désillusions, ils vont remonter jusqu'à la nuit terrible qui vit mourir deux hommes et disparaître pour toujours la jeune fille qui les accompagnait.
S'inspirant de sa propre fugue entre Glasgow et Londres lorsqu'il était adolescent, Peter May livre un polar nostalgique autour des rêves perdus et des passions éteintes de la jeunesse. Dans une spirale éperdue, ses personnages sont emportés dans un même chaos à travers les décors d'un pays bouleversé par la modernité, où les espoirs d'antan n'en finissent pas de s'effondrer et où leur propre passage n'aura laissé aucune trace. Mais les larmes ne résilient ni le mal ni le mensonge. Et, au bout du compte, qu'est-ce que la mort d'un homme sinon l'effacement de ses propres crimes ?