Les métiers de l'esthétique et de la beauté

4,7 milliards d'euros C'est le chiffre d'affaires pour la seule branche d'activité de la coiffure en 2004 (800 000 clients quotidiens!), avec pas moins de 11 200 emplois créés entre 2000 et 2004. À l'image de cette croissance, c'est l'ensemble du secteur de la beauté qui a la forme. S'occuper de soi est dans l'air du temps et le marché de l'esthétique (y compris de la chirurgie) n'a jamais été aussi florissant.

5 familles de métiers... Par familles - esthétique, coiffure, diététique, fitness, cosmétique et parfumerie -, ce guide vous dresse le portrait de dizaines de professionnels: esthéticiennes, coiffeurs, maquilleurs, créateurs de parfums, mais aussi diététiciens, éducateurs sportifs, designers de flacons, responsables marketing, ingénieurs de recherche en cosmétique... Un panorama utile pour un choix de carrière adapté à votre profil.

... aux 1000 visages À cette diversité de métiers s'ajoute une multiplicité de lieux d'activité: instituts de beauté, salons de coiffure, parfumeries, hôpitaux, parapharmacies, établissements de cure, de convalescence, clubs de vacances, plateaux de cinéma, de télévision... sans parler de la possibilité de s'installer à son compte. Si les qualités de base requises restent les mêmes, les missions et les conditions d'exercice peuvent varier du tout au tout!

2 à... 14 ans d'études! La fourchette est large, mais tout dépend du métier visé. Pour la coiffure et l'esthétique, le Cap reste la référence. Vous pouvez le compléter par un brevet professionnel, une mention complémentaire, le nouveau bac pro esthétique/cosmétique-parfumerie, un BTS (diététique par exemple). Et pour devenir chirurgien esthétique, il faudra pousser les études... à bac+14! En cosmétique et parfumerie, vous avez aussi le choix du Cap au master (bac+5), les formations ISIPCA étant très appréciées des professionnels.