Rayon Littérature américaine (anglais)
Les suprêmes

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 413 pages
Poids : 296 g
Dimensions : 11cm X 18cm
ISBN : 978-2-330-05123-5
EAN : 9782330051235

Les suprêmes


Collection(s) | Babel
Paru le
Broché 413 pages
roman traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Cloé Tralci avec la collaboration d'Emmanuelle et Philippe Aronson

Les libraires en parlent

Elles sont trois, sont amies depuis des lustres et nous embarquent dans leur quotidien fait d'amour souvent, de déceptions parfois, consolées par leur amitié...

Bref, la vie ! Découvrez ces personnages attachants et savourez ce roman amusant et émouvant !

Quatrième de couverture

Elles se sont rencontrées à la fin des années 1960 et ne se sont plus quittées : tout le monde les appelle "les Suprêmes", en référence au célèbre groupe de chanteuses des seventies. L'intrépide Odette converse avec les fantômes et soigne son cancer à la marijuana sur les conseils avisés de sa défunte mère, tandis que la sage Clarice endure les frasques de son volage époux pour gagner sa part de ciel. Toutes deux ont pris sous leur aile Barbara Jean, éternelle bombe sexuelle que l'existence n'a cessé de meurtrir. Complices dans le bonheur comme dans l'adversité, ces trois irrésistibles quinquas afro-américaines se retrouvent tous les dimanches dans l'un des restaurants de leur petite ville de l'Indiana : entre commérages et confidences, rire et larmes, elles se gavent de poulet frit en élaborant leurs stratégies de survie.

Invitation à une lecture aussi décalée que féconde de la problématique raciale aux États-Unis, ce formidable roman de l'amitié et de la résilience s'affirme comme une exemplaire défense et illustration de l'humanisme conçu comme la plus réjouissante des insurrections.

Biographie

Edward Kelsey Moore est violoncelliste professionnel à Chicago. Les Suprêmes (Actes Sud, 2014) est son premier roman.

Avis des lecteurs

Du même auteur : Edward Kelsey Moore

Les suprêmes

Les Suprêmes chantent le blues

Les suprêmes chantent le blues

Les Suprêmes chantent le blues