Les tartuffes du petit écran : de Thierry Ardisson à Eric Zemmour, le bal des faux impertinents

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 205 pages
Poids : 246 g
Dimensions : 13cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-35013-375-1
EAN : 9782350133751

Les tartuffes du petit écran

de Thierry Ardisson à Eric Zemmour, le bal des faux impertinents

de

chez J.-C. Gawsewitch éditeur

Collection(s) : Coup de gueule

Paru le | Broché 205 pages

Tout public

17.90 Indisponible

Quatrième de couverture

Les tartuffes du petit écran

À la télévision comme à la radio, ils questionnent, s'insurgent, dénoncent, vitupèrent parfois. Dans leurs émissions, ils nous promettent des disputes, de la polémique, de la confrontation. On les encense pour leur irrévérence, leur liberté de ton et leurs bons mots. Animateurs vedettes et chroniqueurs stars, ils sont les gourous de l'infotainment, les bateleurs du PAF, les bouffons de l'actualité. Adeptes de la provocation facile, ce sont surtout « les tartuffes du petit écran » ! Derrière les rires et les débats, point d'irrévérence ou de contestation, mais de la « vanne » complice et de la pensée unique.

Après avoir dressé un constat sévère sur le triomphe de « l'illusion comique » et de « la controverse factice » à la télévision, l'auteur nous livre une série de portraits corrosifs des plus célèbres « faux impertinents » : Yann Barthès et son tout petit Petit Journal ; Michel Denisot et « l'esprit anal + » ; Laurent Ruquier, le chef de bande ; Thierry Ardisson, le catho scato ; Éric Zemmour, le beauf-beauf de service ; Éric Naulleau dans le gaz ; Natacha Polony, jeune aux idées jaunies ; Franz-Olivier Giesbert, ses tomates, sa prostate ; sans oublier Philippe Bouvard, père gigogne de ces « insolents du vide médiatique ».

Comment l'irrévérence a disparu de la télévision et de la radio Portraits au vitriol des faux impertinents et autres polémistes en toc

Biographie

Luc Chatel est journaliste. Il a été chef du service culture puis rédacteur en chef à Témoignage chrétien, de 1997 à 2011. Il est également coauteur de Médias : la faillite d'un contre-pouvoir (Fayard, 2009).