Quatrième de
couverture
Bertrand Bergeron maîtrise parfaitement l'art de juxtaposer l'action et la conscience des personnages. Ceux-ci ne semblent pouvoir appréhender le réel qu'à travers un miroir qui les réfléchit, et dans lequel ils risquent de se perdre à tout instant. Rien n'est sûr, tout est friable dans ce monde d'« abris provisoires », de « lieux de passage » et de « fausses adresses ». Maisons pour touristes révèle un écrivain au registre étendu pratiquant avec bonheur l'écriture intime et les échappées fantastiques.