Rayon Franc-maçonnerie
Martinès de Pasqually et Jean-Baptiste Willermoz : vie, doctrine et pratiques théurgiques de l'ordre des Chevaliers maçons élus coëns de l'Univers : une relation initiatique à l'origine du régime écossais rectifié

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 1183 pages
Poids : 1289 g
Dimensions : 14cm X 22cm
ISBN : 978-2-35662-472-7
EAN : 9782356624727

Martinès de Pasqually et Jean-Baptiste Willermoz

vie, doctrine et pratiques théurgiques de l'ordre des Chevaliers maçons élus coëns de l'Univers
une relation initiatique à l'origine du régime écossais rectifié


Paru le
Broché 1183 pages

Quatrième de couverture

L'histoire de la relation qui s'est établie entre Jean-Baptiste Willermoz (1730-1824) et Martinès de Pasqually († 1774), débute en avril 1767, année où les deux hommes vont se rencontrer, lors de la réception dans l'Ordre des Élus Coëns du futur fondateur du « Régime Écossais Rectifié », époque où « l'Ordre des Chevaliers Maçons Élus Coëns de l'Univers », dont Martinès était le Grand Souverain, venait d'installer à l'équinoxe de printemps à l'Orient de Versailles sa plus haute instance, c'est-à-dire son « Tribunal Souverain ».

À compter de cette date, Jean Baptiste Willermoz va découvrir auprès de Martinès, jusqu'en septembre 1774 où ce dernier quitta ce monde à Port-au- Prince, un ambitieux programme visant à la « réintégration des êtres dans leurs premières propriétés, vertus et puissance spirituelles divines », de même qu'une doctrine spirituelle absolument originale, gravissant tous les degrés initiatiques jusqu'à celui, ultime, de Réaux-Croix, trouvant dans « l'Ordre des Chevaliers Maçons Élus Coëns de l'Univers », ce qu'il avait toujours attendu en matière de connaissances, et de surcroît la confirmation de ses espérances à propos des « mystères » subsistant au sein de la franc-maçonnerie.

Ainsi que le montre la présente étude - en utilisant exclusivement, et de façon inédite, comme source unique de référence la correspondance échangée entre les deux hommes, et non en la résumant ou en s'en inspirant pour en reconstituer le récit, afin de permettre aux lecteurs d'accéder véritablement à la réalité effective de cette relation initiatique -, l'attachement et l'intérêt de Jean-Baptiste Willermoz pour la doctrine et les pratiques enseignées par Martinès de Pasqually vont dès lors se traduire par sept années d'une relation étroite (1767-1774), certes parfois délicate et traversée par des doutes et des innombrables questions, mais toujours motivée par un souci permanent d'approfondir, sans cesse, les fondements doctrinaux et « opératifs » délivrés par les Élus Coëns.

La théurgie cérémonielle participant du « culte primitif », transmise par Pasqually portant sur l'invocation des esprits et des puissances angéliques, puis, et surtout, l'étude de la doctrine de la « réintégration », devint ainsi l'activité secrète des futurs Chevaliers Bienfaisants de la Cité Sainte, qui, après la disparition des Élus Coëns, donnèrent naissance, lors du « Convent des Gaules » en 1778 à Lyon, au « Régime Écossais Rectifié », système maçonnique et chevaleresque qui devint, dès lors, en s'y « substituant » pour la suite des temps, le « conservatoire » providentiel et le « continuateur » véritable de la perspective initiatique « non apocryphe », c'est-à-dire authentique, rattachée dans l'invisible au « Haut et Saint Ordre » , fonction que Martinès de Pasqually avait originellement dévolue à l'Ordre des Élus Coëns.

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