Rayon Révolution française
Mémoires d'un officier de santé maltais dans l'armée française (1786-1839) : récit de la vie de Charles Eugène Fenech, chirurgien-major des armées, médecin de la faculté de Paris

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 200 pages
Poids : 900 g
Dimensions : 22cm X 22cm
EAN : 9782912431141

Mémoires d'un officier de santé maltais dans l'armée française (1786-1839)

récit de la vie de Charles Eugène Fenech, chirurgien-major des armées, médecin de la faculté de Paris


Collection(s) | Du Directoire à l'Empire
Paru le
Broché 200 pages
texte établi, présenté et annoté par Richard Spiteri
Public motivé

Quatrième de couverture

Au travers d'une carrière longue et mouvementée, Eugène Fenech nous fait connaître la vie des officiers de santé en Espagne et en Algérie. Son témoignage inédit permet de découvrir autrement la vie quotidienne des soldats français dans ces pays difficiles. Sur le plan médical, il contribue à la naissance de la médecine militaire moderne. Nous donnons en appendices deux textes de Fenech sur les blessures par balles et la peste de 1913 à Malte ainsi que deux études de M. Spiteri sur les réfugiés maltais en Corse et sur Calcédoine Fenech, père d'Eugène et bonapartiste.

Biographie

Eugène Fenech débarque à Marseille le 3 octobre 1800 avec les réfugiés maltais. Admis élève en chirurgie à l'hôpital de Toulon en octobre 1802, il devient chirurgien au corps d'observation de la Gironde en 1808 puis à l'armée d'Espagne. Il est chirurgien aide-major au 70e régiment d'infanterie de ligne et assiste aux combats de Roliça, Busaco, et Sabugal. En janvier 1813, Fenech est promu chirurgien-major au corps d'observation de l'Elbe. Il participe aux batailles de Lützen, de Bautzen, de la Katzbach et de Leipzig.

Eugène Fenech cherche ensuite une clientèle civile à Malte, puis à Marseille en 1822. En avril 1830, Fenech est commissionné médecin aux hôpitaux militaires en Corse. Il rejoint l'Algérie au moment de la prise de Constantine en 1836 et 1837 et reste au corps d'occupation d'Afrique jusqu'en 1841.

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