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Mes moires : un pont sur les étoiles

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 416 pages
Poids : 805 g
Dimensions : 16cm X 24cm
ISBN : 978-2-258-09854-1
EAN : 9782258098541

Mes moires

un pont sur les étoiles


Paru le
Broché 416 pages
avec Christophe Quillien
Tout public

Quatrième de couverture

Mes moires

Un pont sur les étoiles

Voici enfin les mémoires de Jean-Pierre Dionnet, l'homme aux mille vies. Tour à tour vendeur aux Puces, libraire à l'enseigne de Futuropolis, réinventeur de la bande dessinée avec Métal hurlant, scénariste, pirate de la télé, défenseur acharné du cinéma populaire et des séries à une époque où ces moyens d'expression étaient encore méprisés. Et, surtout, grand lecteur et infatigable passeur, amoureux fou de l'image sous toutes ses formes, de livres, de BD, de roman noir et de science-fiction.

Jean-Pierre Dionnet évoque les rencontres qui ont changé le cours de son existence, de Jean Boullet à Jacques Goimard et de René Goscinny à Jean Giraud-Moebius. Il raconte ses villes magiques et ses illuminations, ses rendez-vous manqués et ses quarts d'heure de gloire. Il rend hommage à ceux qui l'ont fait grandir, tandis que des monstres sacrés s'invitent dans le récit, de Jacques Bergier à Marion Brando, de James Brown au Professeur Choron, de Philippe Druillet à Serge Gainsbourg ou de Stan Lee à Hugo Pratt, sans oublier Gwendoline et le Major Grubert.

Mes Moires n'est pas seulement un recueil de souvenirs. C'est aussi un cri d'amour pour ces arts longtemps dits mineurs et qui sont devenus, grâce à des visionnaires comme Jean-Pierre Dionnet, des arts majeurs de notre temps.

Biographie

« Il n'y a pas d'art mineur. Seules existent les noces étranges du conscient et de l'inconscient. » Cette phrase de Jean Cocteau semble avoir été écrite tout spécialement pour Jean-Pierre Dionnet. Dès sa plus tendre enfance, celui-ci se passionne pour les arts marginaux, à commencer par la bande dessinée. Devenu adulte (du moins en apparence), il s'en fait l'ardent défenseur, au mépris des hiérarchies culturelles, du supposé bon goût et de la morale de l'époque. D'abord en cofondant le magazine Métal hurlant, puis en initiant les téléspectateurs à la BD (« L'impeccable »), à la musique noire (« Sex Machine »), aux films de genre (« Cinéma de quartier », « Quartier interdit ») et aux séries télévisées (« Destination séries »), avant de permettre au public français de découvrir le cinéma asiatique et Hayao Miyazaki. Dans ce livre, faisant fi de l'injonction de Marcel Duhamel, le créateur de la « Série noire » qui avait intitulé ses mémoires Raconte pas ta vie, il raconte la sienne. Mes Moires est une autobiographie, mais c'est aussi un voyage passionnant à travers les mondes intérieurs de Jean-Pierre Dionnet.

Un jour, Christophe Quillien a été frappé par la Révélation en découvrant la couverture du numéro 51 de Métal hurlant, avec son bandeau noir qui rappelait l'hebdomadaire Pilote et son drôle de manchot tenu en laisse. Désormais, il serait la victime consentante d'une addiction à Métal, ce magazine fondé par un certain Jean-Pierre Dionnet dont il n'avait jamais entendu parler. Depuis, il a complété sa collection et il a eu la chance de rencontrer le fameux Dionnet. En remerciement des bons moments passés à lire Métal hurlant tout en regardant à la télévision « L'impeccable » et « Sex Machine », il lui devait bien ces dizaines d'heures en sa compagnie, à Livry-Gargan, consacrées à l'évocation de ses souvenirs en vue de l'écriture de ce livre.

Avis des lecteurs

Du même auteur : Jean-Pierre Dionnet

Exterminateur 17. Vol. 1

Mes moires : un pont sur les étoiles

Le pacte de la mer

Play it again, Dupont : chroniques ludiques 1978-1980

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