Moonlight act. Vol. 21

Pour éviter à Mytyl une terrible punition, Gekkô s'est présenté comme seul coupable des crimes commis dans Le monde des mille et une nuits. Condamné à rejoindre les pages de L'oiseau bleu après une semaine de sursis, Gekkô n'a que peu de temps devant lui... Mais alors que tous ses compagnons d'armes lui ont tourné le dos, une révélation fracassante vient bouleverser le cours de l'histoire !

En guise de préface

À partir de ce volume, Moonlight Act change de visage. Comme tous les autres contes du monde, les mangas ont une histoire... et les histoires, ça évolue. Mais pour Gekkô et sa bande, l'aventure est loin d'être terminée... En effet, les choses sérieuses sont sur le point de commencer ! Comment est-ce que ça va tourner ? À vous de le découvrir !

À L'attention des parents

Dans ce tome, comme ils l'ont déjà fait auparavant, Engekibu et Gekkô scellent un pacte en se tenant le petit doigt.

Il paraît que cette façon typiquement japonaise de formaliser un serment remonte à l'époque féodale, où trancher le petit doigt venait sanctionner certains larcins ou manquements à l'honneur. On raconte aussi que des filles de joie se mutilaient de la sorte pour prouver leur ferveur à leur véritable amoureux...

Dans sa version traditionnelle, la chanson accompagnant le geste raconte que le traître à sa parole encaissera dix mille coups de poing en plus des mille aiguilles à avaler qu'on lui promet dans nos pages. Vous reconnaîtrez que c'est assez peu engageant !

Sachant cela, on comprend mieux les réticences de Gekkô : en cas d'impair, les conséquences sont de nature à engager le pronostic vital du sujet parjure, même quand il est costaud. Espérons qu'Engekibu ne répète pas l'opération trop souvent...

Vous aussi, chers amis... avant de donner votre parole, réfléchissez bien à tout ce que ça implique !