Mort d'un banquier : les dessous de l'affaire Stern

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 241 pages
Poids : 376 g
Dimensions : 15cm X 23cm
Date de parution :
EAN : 9782350760339

Mort d'un banquier

les dessous de l'affaire Stern

de ,

chez Ed. Privé

Paru le | Broché 241 pages

Tout public

19.27 Indisponible

Quatrième de couverture

Mort d'un banquier

Le 1er mars 2005, le banquier Édouard Stern est retrouvé mort à Genève. L'enquête s'annonce délicate. La trente-huitième fortune de France, ami intime de Nicolas Sarkozy, a été abattu de quatre balles à bout portant.

À New York, Londres, Hong Kong, Paris et Genève, l'annonce de son assassinat secoue le monde de la finance. On spécule sur un contrat lancé par la mafia russe. La police genevoise est déjà sur la piste de Cécile Brossard, la maîtresse du banquier. Son départ précipité pour l'Australie éveille les soupçons du juge d'instruction Michel-Alexandre Graber. Quinze jours après le crime, la Française avoue. Parce que son enquête interfère avec des dossiers sensibles, le magistrat va se retrouver au coeur de la terrible lutte d'influence qui fait rage au sommet de l'État français. Rhodia, Clearstream, le scandale « Pétrole contre nourriture », les contrats d'armement, la justice helvétique marche sur des oeufs. Le cocktail est explosif.

Homme de pouvoir et d'influence, Édouard Stern a laissé dans ses coffres de nombreux documents. Certains seront saisis par les juges français Jean-Marie d'Huy et Henri Pons. À quelques mois de l'élection présidentielle, l'assassinat du financier français a des relents d'affaire d'État. Tout va être mis en oeuvre pour repousser le procès après le scrutin de juin 2007.

Après plus d'un an d'enquête, le « coup de folie » de Cécile Brossard reste une énigme. A-t-on peur de ce qu'elle pourrait révéler pendant son procès ?

Biographie

Valerie Duby, licenciée en sciences politiques, est journaliste à Genève. Elle a travaillé pour le journal La Suisse avant d'intégrer La Tribune de Genève, où elle s'occupe des affaires criminelles et judiciaires.

Alain Jourdan a travaillé pour de nombreux journaux régionaux. Spécialisé dans les dossiers politiques et judiciaires, il a quitté Le Progrès de Lyon en 2001 pour rejoindre La Tribune de Genève.