Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 420 pages
Poids : 630 g
Dimensions : 15cm X 23cm
EAN : 9782715814813
Nom de code, Axiom Day
Quatrième de couverture
Un bus explose en plein coeur de Londres. L'attentat est un carnage. Deux frères irlandais se trouvaient sur les lieux. L'un meurt, l'autre, légèrement blessé, est immédiatement arrêté: c'est Constantine Lindow, éminent microbiologiste. Quels sont ses véritables liens avec l'IRA? Cette piste n'est-elle pas trop évidente? Seul le commissaire Kenneth Foyle, patron du service antiterroriste chargé de l'enquête, doute de la culpabilité de Lindow. Mais au plus haut niveau, on s'oppose à lui et le MI 5, célèbre service secret britannique, tire les ficelles dans l'ombre. À mesure qu'une mystérieuse et séduisante jeune femme entre dans le jeu, la silhouette glaçante d'un tueur fou se profile, dont le plan meurtrier doit s'accomplir sous le nom de code Axiom Day.
Nom de code: Axiom Day met en scène les techniques les plus sophistiquées du terrorisme postmoderne, utilisées de manière diabolique: bombes commandées par téléphone portable, «contrats» passés sur Internet. L'intrigue avance avec une vivacité rare à mesure que l'auteur pénètre dans les sombres arcanes des services secrets et plonge dans la folie meurtrière des «soldats perdus» de l'armée britannique.
Henry Porter est né en 1953 et vit à Londres. Il est l'auteur de Une vie d'espion, publié par Balland en 2003 et s'installe désormais comme un maître du roman d'espionnage.
«Tout le monde sait que les histoires de conspiration paranoïaque sont rarement à la fois crédibles et palpitantes; c'est pourtant ce qu'obtient Porter avec une aisance exceptionnelle. Nom de code: Axiom Day est une contribution au genre remarquable.»
Daily Telegraph
«Un thriller classique et tiré au cordeau, où le suspense est maintenu à mesure que le méchant menace d'échapper à la toile qui l'enserre de plus en plus près. Un roman qui s'enroule en spirales à travers une série de rebondissements culminant le jour du 11 novembre. Une lecture à bout de souffle.»
The Times