Rayon Littérature française
Nopal : une balafre mexicaine

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 184 pages
Poids : 250 g
Dimensions : 14cm X 21cm
ISBN : 978-2-84924-197-4
EAN : 9782849241974

Nopal

une balafre mexicaine


Collection(s) | Roman francophone
Paru le
Broché 184 pages

Quatrième de couverture

Nopal

Une balafre mexicaine

Nopal, c'est le nom donné au figuier de Barbarie géant du Mexique. C'est le nom qu'a choisi Pedro Gonzalez, fils illégitime de Don Diego Gonzalez de Villaplana, descendant des conquistadors, et d'une Indienne, la belle Lupe de Malincha.

Son père, le chef des Cristeros qui ensanglantèrent le Mexique des années 1930, trouve la mort dans un baroud d'honneur. Le jeune Pedro gardera le souvenir de cette mort. Son enfance et son adolescence seront consacrées à la vengeance. Lorsqu'il l'aura accomplie, il devra fuir aux États-Unis.

Déchiré par son double destin de métis - Pedro est-il un Indien ou un Espagnol ? -, il se réfugiera dans la guerre et la violence : la Corée puis le Vietnam. Officier dans les Marines, responsable du massacre d'un village, le fils de Don Diego abandonne l'armée après un procès.

Le capitaine Gonzalez retraverse le Rio Grande, et redevient le fils de la Malincha, l'Indien qui va s'enfoncer dans la forêt pour rejoindre ses frères, les Chamulas, une tribu à qui des intellectuels venus d'Occident tentent de porter la parole révolutionnaire. C'est le dernier combat du Nopal.

Biographie

Franco-Mexicain, journaliste et homme de lettres, conseiller en communication, amoureux du spectacle, Georges Goubert a été éloigné du Mexique durant une trop longue période. Il s'était juré d'y revenir et d'y vivre.
Après avoir fréquenté les planches des théâtres parisiens, les hautes sphères des Ambassades, et les balles des ennemis, il repassera la frontière, et s'imposera aux yeux des autres comme le défenseur du Mexique et de ses valeurs.
C'est donc en remerciement au destin quelquefois cruel qu'il écrit son premier roman
, Nopal, une ode à ce Mexique qu'il aime tant. « Le Mexique ça se mérite, il faut parfois y verser pas mal de larmes de sang, ce doit être cela le prix de l'amour ! »

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