Notes du bout du monde

Notes du bout du monde

Carnets féroïens

« Un voyageur Zellidja avant tout »

Après avoir accompli un tour de France à vélo lors de son premier voyage Zellidja, Clément décide de s'adonner aux contraintes de la randonnée à pied dans les îles Féroé. Son but : y découvrir la vie traditionnelle et sa réalité d'aujourd'hui. Cet étudiant en classe préparatoire littéraire aura concilié son plaisir d'écrire avec les randonnées solitaires. Mais a-t-il pour autant su dompter le climat de cet archipel ? Son immersion « naïve » lui a-t-elle permis de côtoyer les insulaires et s'en faire accepter ? La lecture de ce récit attachant et poétique montre à quel point les voyages peuvent nous mener sur des sentiers gorgés de rencontres et de soleil quand la brume se dissipe.

Un récit humain et poétique

« J'étais parti aux Îles Féroé, n'en connaissant que de vagues propos rapportés, sans plan préconçu et sans y connaître personne. J'avais noté des noms de lieux à voir, et c'était tout.

Arrivant là-bas naïvement, je n'ai pas manqué de me perdre et de me décourager. Mais, j'ai fini par rencontrer des Féroïens, et c'est en me liant d'amitié avec eux que j'ai appris à aimer l'archipel. Là-bas, j'ai dormi chez l'habitant, rencontré la consule française, travaillé dans des fermes et dans un café. J'ai voulu raconter mon voyage aux Féroé, autant pour la beauté des paysages que pour l'humanité des habitants. Ainsi, à la fin de chacun des sept chapitres du livre, vous trouverez un poème pour ajouter une dimension sensible à ce récit.

J'espère que vous aimerez, autant que moi, vous plonger dans ces îles de brouillards et de roches, à la rencontre de ce peuple forgé par la pluie. »