Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 193 pages
Poids : 227 g
Dimensions : 13cm X 20cm
ISBN : 978-2-84344-136-3
EAN : 9782843441363
Nous allons tous très bien, merci
Les libraires en parlent
A mi-chemin entre le freak show et la réunion d'alcoolique anonymes, ce court roman voit se côtoyer cinq êtres extraordinaires qui ont croisé l'effroi de près. Daryl Grégoy imagine ici la thérapie suivie par ces héros survivants des films ou romans catastrophes que l'ont quitte souvent à l'aube de leur traumatisme.
Le surnaturel n'est jamais très loin, l'humour non plus (noir bien entendu), alors n'ayez pas peur, poussez la porte !
Quatrième de couverture
Nous allons tous très bien, merci
II y a d'abord Harrison, qui, adolescent, a échappé à une telle horreur qu'on en a fait un héros de romans. Et puis Stan, sauvé des griffes d'une abomination familiale l'ayant pour partie dévoré vif. Barbara, bien sûr, qui a croisé le chemin du plus infâme des tueurs en série et semble convaincue que ce dernier a gravé sur ses os les motifs d'un secret indicible. La jeune et belle Greta, aussi, qui a fui les mystères d'une révélation eschatologique et pense conserver sur son corps scarifié la clé desdits mystères. Et puis il y a Martin, Martin qui jamais n'enlève ses énormes lunettes noires... Tous participent à un groupe de parole animé par le Dr Jan Sayer. Tous feront face à l'abomination, affronteront le monstre qui sommeille en eux... et découvriront que le monstre en question n'est pas toujours celui qu'on croit...
Nous allons toits très bien, merci roman finaliste des plus grands prix littéraires du domaine - Nebula, Locus, Théodore Sturgeon et World Fantasy -, lauréat du prestigieux Shirley Jackson Award, est actuellement en cours d'adaptation par Wes Craven en série télévisée. Il s'agit du second livre de Daryl Gregory publié en France après L'Éducation de Stony MayhalL
« Ce roman pluriel - méchamment drôle, horrible et néanmoins curieusement inspirant - s'avère une réussite pleine de ténèbres, un récit en équilibre entre le dégénéré et le sublime... »
Publishers Weekly