Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 456 pages
Poids : 570 g
Dimensions : 15cm X 21cm
ISBN : 978-2-38246-113-6
EAN : 9782382461136
Nul ennemi comme un frère
(1975-1983)
Les libraires en parlent
Frédéric Paulin est un génie ! Après la guerre civile algérienne, il met en lumière l'action de la France au Liban et tente de saisir les rapports de force d'une guerre incompréhensible. C'est enlevé, référencé, voici le roman géopolitique parfait !
Simon
Premier tome d'une nouvelle trilogie consacrée au Liban. Un édifice colossal dont la première pierre couvre les années 1975-1983. Les personnages fictifs particulièrement incarnés imaginés par Paulin y côtoient la réalité historique, toujours incroyablement documentée et évoluent dans cette inextricable mosaïque que constitue le pays au cèdre.
Une plongée vertigineuse dans l'histoire d'un pays traversé par les guerres civiles, les attentats et les crises diplomatiques, donc dans celle du Moyen Orient, qui résonne particulièrement face à l'état actuel du monde.
Un événement de la rentrée littéraire.
Quatrième de couverture
Beyrouth, 13 avril 1975. Le Liban bascule dans un déferlement de violence effroyable qui dépassera bientôt ses frontières et celles du Proche-Orient.
Au Liban, le chiite Abdul Rasool al-Amine et le Mouvement des déshérités se préparent à la bataille. L'avocat Michel Nada part pour la France afin de rallier la droite à la cause chrétienne. Ses frères, eux, restent et choisissent la guerre.
À l'ambassade de France, le diplomate Philippe Kellermann se retrouve pris au piège. La France de Giscard et de Mitterrand a-t-elle encore le pouvoir d'empêcher l'escalade des tensions, alors qu'elle se voit menacée au sein même de son territoire ?
Première partie du projet le plus ambitieux de Frédéric Paulin à ce jour, Nul ennemi comme un frère retrace avec force les premières années de la guerre du Liban à travers les destins croisés de femmes et d'hommes tous liés par l'absurdité d'un conflit qui les dépasse.
« Je suis le Liban qui a fait la guerre depuis tant d'années. Je suis le Liban qui ne trouve plus les mots pour dire sa douleur. »