Rayon Bouddhisme
Oeuvres classiques du bouddhisme japonais. Vol. 11. Que devenons-nous après la mort ? : exégèse du bouddhisme traditionnel japonais : Yuishiki 30 ju ou Le rien-que-conscience du moine indien Vasubandhu (320-400), Ojôyôshu du moine japonais Genshin (942-1017), Nembutsu-zôshi du moine japonais Suzuki Shôsan (1579-1655)

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 193 pages
Poids : 246 g
Dimensions : 14cm X 22cm
ISBN : 978-2-343-17933-9
EAN : 9782343179339

Que devenons-nous après la mort ?

exégèse du bouddhisme traditionnel japonais
Yuishiki 30 ju ou Le rien-que-conscience du moine indien Vasubandhu (320-400), Ojôyôshu du moine japonais Genshin (942-1017), Nembutsu-zôshi du moine japonais Suzuki Shôsan (1579-1655)


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Broché 193 pages

Quatrième de couverture

Que devenons-nous après la mort ?

Exégèse du bouddhisme traditionnel japonais

À travers l'analyse de trois oeuvres classiques du bouddhisme : Yuishiki 30 ju ou Le rien-que-conscience, de Vasubandhu, Ôjôyôshu, de Genshin, et Nembutsu-zôshi, de Suzuki Shôsan, cet ouvrage aborde les notions de mort et d'après-mort dans le bouddhisme japonais.

Selon le Yuishiki 30 ju, lorsque nous mourons, l'arayashiki, la conscience des tréfonds qui conserve les bonnes et les mauvaises actions accumulées durant l'existence, ne disparaît pas. Aucune de ces « semences » n'est identique, à la façon de notre génome. Elles participent ainsi à la répétition des naissances et des morts à travers les six mondes de l'illusion, que sont les enfers, les esprits affamés, les animaux, les esprits combattants, les hommes et les dieux.

Dans l'Ôjôyôshu, toutes les scènes de l'enfer jusqu'à la Terre pure sont exposées par Genshin. L'auteur montre comment la répétition des naissances et des morts amène la souffrance, et dès lors pourquoi nous devons chercher à sortir de ce cycle.

Enfin, le Nembutsu-zôshi montre que la récitation sincère du nom du bouddha Amida, le nembutsu, est le moyen le plus certain et le plus facile pour renaître dans la Terre pure.

Biographie

Sous l'influence de sa mère, Asuka Ryôko éprouve de l'intérêt pour le bouddhisme depuis son enfance. Elle a étudié la langue française à l'université Aoyama-Gakuin (Tokyo). Entre 1986 et 1989, elle a écrit à Hôbôgirin (Kyôto) son propre dictionnaire japonais-français des termes bouddhiques. En 1997, elle a fondé l'institut Asuka, qui vise à présenter au public francophone la sagesse du Japon d'autrefois par la traduction d'oeuvres classiques du bouddhisme japonais et à encourager leur diffusion.

Avis des lecteurs

Du même auteur : Ryoko Asuka