Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 274 pages
Poids : 348 g
Dimensions : 14cm X 22cm
EAN : 9782747515979
La médecine traditionnelle japonaise
Quatrième de couverture
Le 4 juin 2000, l'Organisation Mondiale de la Santé rendit public son rapport révélant que le Japon détenait toujours le record mondial de la longévité pour ses habitants. L'étude réalisée auprès de 191 pays nous montrait que l'homme japonais pouvait espérer vivre en bonne santé, jusqu'à l'âge de 71,9 ans et la femme japonaise jusqu'à l'âge de 77,2 ans.
Comment expliquer une telle longévité chez le peuple japonais ?
Ce livre apportera certainement des réponses au lecteur.
On trouvera, dans cet ouvrage, deux textes : «Yôjôkun» écrit par un docteur confucianiste de l'époque d'Edo, Kaibara Ekken (1630-1714) et «Chiyomigusa» écrit, à la même époque par un moine bouddhique anonyme de grande vertu qui appartenait à l'école bouddhiste Nichiren.
Yôjôkun, qui était un best-seller à l'époque d'Edo, continue à l'être aussi de nos jours. Il est regardé comme la Bible dans le domaine de la médecine traditionnelle japonaise.
Kaibara Ekken nous dévoile l'art de vivre longtemps sans maladie. Il met l'accent sur la prévention des maladies. Il explique aussi soigneusement les précautions à prendre à l'égard de la nourriture, des exercices, de la paix du cœur, du travail, etc. Par ailleurs, il aborde les différents aspects de la médecine traditionnelle : l'acupuncture, les massages, le Kyû et la pharmacopée traditionnelle.
Au Japon, le nombre d'hôpitaux qui utilisent simultanément la médecine moderne et la médecine traditionnelle est en constante augmentation. Ces hôpitaux obtiennent des résultats meilleurs dans le traitement de leurs malades : la médecine traditionnelle améliore la force de guérison qui se trouve originellement dans le corps de l'homme pour vaincre la maladie.
Dans l'autre livre intitulé Chiyomigusa, un moine bouddhiste nous initie à l'art de soigner le malade et de le conduire à la Terre Pure. Les lecteurs modernes seront touchés par les idées les plus nobles de cette œuvre. Cet art de mourir pourra être destiné, quelle que soit la religion, aux malades qui continuent de nos jours à souffrir de la peur de la mort.