ONG et acteurs locaux : l'ultime alternative ? : les limites du modèle participatif au Sud et la concurrence des ONG dans le Nord

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 108 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-87037-643-0
EAN : 9782870376430

ONG et acteurs locaux : l'ultime alternative ?

les limites du modèle participatif au Sud et la concurrence des ONG dans le Nord

chez Presses universitaires de Namur

Collection(s) : Eclairage Nord Sud

Paru le | Broché 108 pages

Public motivé

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avec avec la contribution de Jean-Philippe Platteau, Vincent Somville, Gani Aldashev et Astrid Similon


Quatrième de couverture

ONG et acteurs locaux : l'ultime alternative ?

La concurrence des ONG dans le Nord.

Les limites du modèle participatif dans le Sud.

La FUCID, l'ONG des Facultés Universitaires Notre-Dame de la Paix, lance une collection « Eclairage Nord Sud ». ONG universitaire, la FUCID entend donner des clés de lecture et de compréhension des réalités vécues au Sud, en particulier par les plus démunis. Prendre un peu d'envol et le temps de la réflexion pour aborder des questions complexes, de plus en plus complexes, avec un regard critique et argumenté, tel est l'objectif de cette collection.

Ce premier tome porte un coup de projecteur sur les ONG et les communautés locales, comme alternative aux projets étatiques de développement. Mais n'y a-t-il pas des limites dans cette approche plus citoyenne et participative ?

Jean-Philippe Platteau et Vincent Somville analysent le modèle participatif de développement, centré sur la communauté locale. Ils décrivent le rôle des acteurs locaux au Sud et les difficultés rencontrées par la société civile désormais partenaire à part entière des processus de développement en lutte contre la pauvreté. La question de la durabilité est au coeur de leur recherche, en particulier quand elle est confrontée aux exigences d'efficacité et de résultats tangibles et immédiats.

Gani Aldashev et Astrid Similon portent leur analyse, quant à eux, sur le climat, sinon délétère du moins à haut risque, dans lequel se débattent les ONG du Nord, de plus en plus souvent confrontées à des logiques compétitives où la concurrence n'est pas un vain mot. Comment vivre cette compétition entre ONG, par exemple dans le domaine de la recherche de fonds, sans perdre son âme ? Des pistes existent comme la labellisation, les coupoles ou consortiums d'ONG, mais permettent-elles vraiment d'échapper à cette concurrence dommageable ?