Fiche technique
Format : Broché
Poids : 483 g
Dimensions : 20cm X 23cm
EAN : 9782916347035
OPA Mia (my tender bid)
Quatrième de couverture
Dans la cité, imaginons que la musique soit la loi.
Les news scandent la vie. La parole, la confidence est suspecte.
Les âmes brûlent au soleil d'une fantaisie: Sunny Cash, dieu de l'argent, règne sans partage. Face à lui, Sphinx, déesse de la vérité.
Elle le retient, l'inquiète. Feu et ecu. Violences rythmiques du baryton basse, lignes pures de la soprano lyrique. Dans la cité, imaginons une crise grave. Nous nous focalisons sur lui, un golden boy, un initié, et elle, une speakerine. Deux personnages entraînés à la parole officielle du Grand Central, surveillés et protégés par les dieux.
Chacun lutte pour ne pas se perdre et cherchant l'autre se trouve soi.
Paroles immergées dans la musique, confidences soudain portées ou premier plan. Les dieux apprendront la violence des sentiments. Les humains accepteront le triomphe de l'amour. La musique emportera le récit.
O.P.A. Mia: l'amour, l'argent. J'ai dédié cet opéra à la mémoire des années quatre-vingts pour ne pas oublier leur soudaine âpreté. Secrètement, je le dédie aux amants, les vrais initiés
Let's imagine that music is law in the city. The news articulates life. Speech is suspect. Souls burn in the sun of a fantasy: Sunny Cash, god of money, rules supreme. Facing him is Sphinx, the goddess of truth.
She holds him back and worries him. Fire and water. Rhythmic violence of the bass-baritone, pure lines of the lyric soprano. Let's imagine a serious crisis in the city. We focus on a golden-boy, an initiale (He), and a newsreader (She). Two characters trained in the official speech of the Grand Central, watched over and protected by the gods. Each one struggles not tolose himself and, seeking the other, finds himself.
Words immersedin music, confidences suddenly brought to the forefront. The gods will learn the violence of feelings. The humans will accept the triumph of love. Music will carry the story along. O.P.A. Mia: love and money. I dedicated this opera to the memory of the 1980s so as not to forget their sudden harshness. Secretly, I dedicate it to lovers, the true initiales
Denis Levaillant