Rayon La peinture selon les genres et les thèmes
Jean-Baptiste Oudry : peintre de courre : les Chasses royales de Louis XV

Fiche technique

Format : Broché sous jaquette
Nb de pages : 222 pages
Poids : 1018 g
Dimensions : 23cm X 28cm
ISBN : 978-2-7118-8042-3
EAN : 9782711880423

Jean-Baptiste Oudry

peintre de courre
les Chasses royales de Louis XV


Paru le
Broché sous jaquette 222 pages
préface Marie-Christine Labourdette, Muriel Barbier
traduction de l'italien vers le français Renaud Temperini
traduction de l'anglais vers le français Jean-François Allain
Tout public

Quatrième de couverture

Peintre ordinaire du roi, Jean-Baptiste Oudry (1686-1755) est le chantre inspiré de la vénerie royale. Aucun artiste du règne de Louis XV ne sut mieux que lui évoquer l'univers de la chasse, représenter les forêts de Compiègne ou de Fontainebleau et traduire en peinture le pelage des chiens, les bois des cerfs et le plumage du gibier. Son art - du dessin sur papier bleu aux toiles de grand format - exerça une influence notoire dans des domaines très divers, en particulier celui des arts décoratifs.

Ce catalogue richement illustré explore la genèse du chef-d'oeuvre d'Oudry, les cartons des Chasses royales, destinés à être traduits en tapisseries par la manufacture des Gobelins.

Ces oeuvres monumentales détaillent les étapes d'un laisser-courre, exercice ritualisé et savamment orchestré par un appareil majestueux. Elles glorifient le souverain, mis en scène avec son équipage dans l'exercice de sa passion dévorante, et fixent, pour la postérité, l'image d'un règne auquel la troublante rencontre entre la férocité de la nature et le raffinement de la société confère le charme d'un mystérieux sortilège.

« Lorsque ces Tableaux ont été portés aux Gobelins, le S. Oudry a été chargé de la conduite de la tapisserie ; aussi s'est-on aperçû d'une exécution au dessus de ce qui a parû depuis long-temps ; et l'on peut dire qu'il n'est pas possible de porter la Tapisserie de Haute Lice dans toutes ses parties, à un plus haut degré de perfection. »
Mercure de France, juin 1738, vol. II, p. 1398

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