Plume guyanaise (La), n° 2003

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 206 pages
Poids : 370 g
Dimensions : 17cm X 24cm
Date de parution :
EAN : 9782844501769

Plume guyanaise (La), n° 2003

chez Ibis rouge

Serie : Plume guyanaise (La). Vol 2003

Paru le | Broché 206 pages

Tout public

Revue
19.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Offrir un terrain d'expressions culturelles et littéraires à toutes les communautés qui peuplent la Guyane, tel est l'objectif premier de cette nouvelle revue littéraire La plume guyanaise.

Cette livraison est riche d'articles de littérature générale, mais aussi de poésies, de contes, de nouvelles, de notes de lecture. Sans oublier un aperçu des écrivains guyanais.

Une large place est consacrée au prix littéraire du marronage, attribué en septembre 2002 à Matoury. Les nouvelles lauréates - au nombre de trois - sont publiées dans leur intégralité.

Biographie

L'illustration de la couverture a été réalisée Stana Sampson. L'oeuvre s'intitule «figée» et a été spécialement crée pour la biennale du marronnage 2002 dont le thème était la femme dans le marronnage.

Stana est âgée de 30 ans, née à Cayenne elle a effectué sa scolarité jusqu'au lycée en Guyane. Elle intègre ensuite l'école des beaux-arts à Angers pour poursuivre ses études supérieures. Elle obtient le diplôme national d'arts plastiques option design, section architecture intérieure ainsi que celui d'études plastiques, section Art, en 1999.

Depuis son retour, Stana s'est installée à Maripasoula où elle enseigne les arts plastiques au collège «gran man difou». Dans ses réalisations plastiques, le monde fantastique qui sert de décor à ses tableaux, est un univers qui la suit depuis sa dernière année à Angers. A Maripasoula, Stana est dans un milieu qui lui permet de vivre pleinement son art. Elle y trouve tous les ingrédients qui gardent constamment en éveil son âme artistique. Elle s'inspire de lianes, mais surtout de graines qui peuplent l'univers de la commune, et à partir desquelles elle recrée des personnages baptisés «trans-morphe-grana» qui sont, dit-elle, les habitants silencieux de notre forêt.