Préparation du cheval de dressage : règlement pour le dressage du cheval d'armes : établi en 1908 par la Commission de l'Ecole d'application de cavalerie des officiers à Saint-Pétersbourg

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 92 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 14cm X 21cm
Date de parution :
EAN : 9782908571387

Préparation du cheval de dressage

règlement pour le dressage du cheval d'armes
établi en 1908 par la Commission de l'Ecole d'application de cavalerie des officiers à Saint-Pétersbourg

de

chez PSR Editions

Paru le | Broché 92 pages

Tout public

12.00 Indisponible

Quatrième de couverture

«Je me suis borné à élaborer une méthode pratique, sans recherches spéciales, en laissant aux Instructeurs l'initiative complète en ce qui concerne les détails multiples qui peuvent se présenter pendant la période du dressage.

Mon objectif a été de former des chevaux robustes, maniables, très perçants dans leurs allures et toujours bien équilibrés en vue de leur conservation.

Pour arriver à ce résultat je m'appuie sur le principe absolu : qu'il faut pousser le cheval dans la ligne montante pour obtenir la légèreté et l'adresse dans l'exécution des mouvements. Le placement, la mobilité de la tête et de son attache est un point essentiel à observer, car toute position ou défaut contractés dans les débuts ne se corrigent jamais.

Si le rassembler intense est le summum de la Haute École, il n'en est pas moins, à un degré atténué, la base de l'Équitation pratique.

Pendant les douze années que l'expérience s'est poursuivie sous ma direction, nous recevions tous les ans trois cents chevaux des steppes et cinquante juments de pur sang neuves de trois ans, provenant des Haras Impériaux, qui, destinées à la reproduction, étaient cependant soumises au dressage, comme culture physique. Les résultats sur l'ensemble ont donné entière satisfaction puisque nous n'avons eu à constater ni une seule réforme faute de progression, ni un seul accident grave faute de précautions pendant toute cette suite de dressages consécutifs.

J'attribue ce succès à la préparation obtenue par le travail à la main, toujours en marchant, qui rend le cheval maniable et confiant.»

James Fillis