Rayon Histoire de l'Europe
Quand Louis XIV brûlait le Palatinat... : la guerre de la Ligue d'Augsburg et la presse

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 225 pages
Poids : 695 g
Dimensions : 21cm X 30cm
ISBN : 978-2-343-01536-1
EAN : 9782343015361

Quand Louis XIV brûlait le Palatinat...

la guerre de la Ligue d'Augsburg et la presse


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Paru le
Broché 225 pages

Quatrième de couverture

Mélac, ce trop fameux général français, sévissait dans le Palatinat de 1688. La découverte dans les archives de Karlsruhe d'un billet de la main de ce personnage fut un rare bonheur.

Ainsi est né le titre de cet essai Quand Louis XIV brûlait le Palatinat... Au cours de cette promenade à travers le XVIIe siècle, l'image volante, un des médias du temps, permet de saisir l'écho de ce passé. De format folio, l'image volante, imprimée sur une face, comportait sur un même thème texte et illustration. Cet ouvrage est un recueil de ces images volantes, fragiles papiers, épaves miraculeusement venues jusqu'à nous. Chacun de ces documents s'accompagne d'un commentaire qui tente d'éclairer image et texte. Texte le plus souvent traduit de l'allemand et inédit en français.

Au lecteur de vagabonder à travers l'ouvrage, de bousculer la chronologie ; ce sont 55 images volantes qui forment la trame d'un livre au titre excessif. La « brûlerie » du Palatinat n'est qu'un simple lever de rideau. Au-delà du rougeoiement des ruines de Heidelberg, tenter de redonner vie aux gens de ce temps et d'approcher le duel de 30 ans entre Louis XIV et Guillaume d'Orange.

Biographie

En lointain descendant des « hussards noirs de la République », Michel Rousseau officia à ses débuts au sanatorium de Zuydcoote où on le qualifiait pompeusement de « Monsieur l'Instituteur ». Puis, le CAPES obtenu, il enseigna l'histoire et la géographie au lycée Jean-Bart de Dunkerque. Il consacra le reste de sa carrière à l'Ecole européenne de Bruxelles avec cette gageure d'enseigner l'histoire en français à des élèves dont la langue maternelle n'était pas le français. Ainsi en avaient décidé les « founding fathers » de ces écoles toujours fort actives. Il garde une reconnaissance infinie à ces cohortes de jeunes Européens qui lui avaient accordé leur confiance.

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