Rayon Vie politique
Qui est l'ennemi des néoconservateurs américains ? : étude de la neo-orientalist masculinity, 1996-2006

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 196 pages
Poids : 245 g
Dimensions : 14cm X 22cm
ISBN : 978-2-296-99279-5
EAN : 9782296992795

Qui est l'ennemi des néoconservateurs américains ?

étude de la neo-orientalist masculinity, 1996-2006


Collection(s) | Inter-national
Paru le
Broché 196 pages
préface de Pierre Grosser
Public motivé

Quatrième de couverture

Qui est l'ennemi des néoconservateurs américains ?

Étude de la neo-orientalist masculinity (1996-2006)

Comment le 11 septembre a-t-il été perçu aux États-Unis ? Pourquoi appelait-il une réaction virile ? Comment la guerre en Afghanistan a-t-elle été justifiée ? Comment les différends transatlantiques ont-ils été interprétés en termes de rapports variés à la virilité ? Comment l'anti-américanisme est-il pensé aux États-Unis mêmes ?

Pour répondre à ces questions, cet ouvrage décrypte la vision néoconservatrice du monde. Quelle place le genre et l'orientalisme prennent-ils dans la formulation du discours néoconservateur ? Et en quoi ce discours sert-il la légitimation d'une domination hégémonique des États-Unis ?

En se concentrant sur la figure de l'ennemi, cette réflexion nous permet d'en comprendre la dimension structurante dans les relations internationales. En prenant le discours au sérieux, elle nous aide à percer au jour comment il façonne et reflète les identités. Au-delà d'un travail universitaire innovant, il s'agit donc aussi d'une invitation à la vigilance. En effet, la masculinité néo-orientaliste ne relève pas uniquement du discours identitaire ; elle est un appel à l'action guerrière et à la domination hégémonique.

Biographie

Emma Villard est diplômée du master de recherche en science politique des relations internationales de Sciences Po Paris. Elle a ensuite travaillé à la délégation de l'Union européenne à Rabat (Maroc) puis à la CNUCED (Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement). Elle s'intéresse désormais aux questions de cyber-guerre au sein du groupe Thales.

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