Rayon Deuxième Guerre mondiale
Raid sur Tokyo : 10 mars 1945

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 190 pages
Poids : 340 g
Dimensions : 16cm X 24cm
ISBN : 979-10-90134-21-8
EAN : 9791090134218

Raid sur Tokyo

10 mars 1945


Paru le
Broché 190 pages
traduit de l'anglais par Lucien Hess et F. Hess
Tout public

Quatrième de couverture

Le 9 mars 1945 le plus puissant raid aérien fut lancé contre le Japon. A 30 secondes d'intervalle, décolèrent des aérodromes de Guam, Tinia et Saipan, 334 superforteresses avec pour objectif Tokyo situé à plus de 3 000 kilomètres.

Le général Curtis Le May et les équipages des bombardiers prirent un risque énorme : les superforteresses, chargées à ras bord de bombes incendiaires, devaient de nuit et pour la première fois bombarder la ville à très basse altitude, sans aucune mitrailleuse de protection. Jusque là les bombardements de jour et à haute altitude avaient occasionné des pertes considérables en appareils et en équipages.

Ce fut, pour les Japonais, une nuit d'horreur et de mort. En six heures de bombardement, les vagues successives de superforteresses infligèrent à Tokyo des dégâts bien plus considérables en vies humaines et en destructions que les bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki. 35 000 km2 furent détruits et il y eut plus de 100 000 morts.

Biographie

Martin Caidin (1927-1997) est né à New York où il vécut. Très jeune, il y rencontre l'astrophysicien et astronome Carl Sagan. Passionné par les sciences de l'espace et l'aviation et malgré une formation d'autodidacte, Caidin intègre l'équipe de Werner von Braun à Cap Canaveral en 1955. Il devient pilote d'essai et un expert dans le domaine aérospatial. Connaissant parfaitement l'histoire de l'armée de l'air et de l'aéronautique, il écrit en 1956 son premier roman de science fiction (The long night). Il en publiera une quinzaine dont certains sont portés à l'écran et à la télévision pour laquelle il écrit différentes séries (L'Homme qui valait 3 milliards et Super Jaimie). Il termine ses jours en Floride à Tallahassee.

Avis des lecteurs