Sarimakoi ? : sucrez, salez, poivrez, servez ! textes rimés et autres balivernes. Vol. 2. Le retour !

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 71 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 15cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-87867-952-6
EAN : 9782878679526

Le retour !

de

chez Presses du Midi

Serie : Sarimakoi ? : sucrez, salez, poivrez, servez ! textes rimés et autres balivernes. Vol 2

Paru le | Broché 71 pages

13.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Sarimakoi ?

Deux mots au lecteur qui aura la curiosité d'ouvrir cet ouvrage.

C'est une opinion assez répandue que de considérer l'écriture en vers comme dépassée, désuète, et pour tout dire mièvre. Comme toute opinion, elle est respectable et je la respecte, mais elle n'est pas pour autant applicable à toute écriture en vers. Nombre d'auteurs se disent poètes dès lors qu'ils ont fait rimer amour et toujours, coeur avec bonheur (ou malheur !), chat et pacha, fille et gentille, garçon avec mollasson, j'en passe et des plus cocasses (pardon pour la rime... volontaire).

Je prétends que l'on peut écrire en rimes tout ce que l'on écrit en prose, avec, en prime, une petite musique rythmée qui fait que l'on retient plus facilement quelques lignes en vers qu'un paragraphe en prose ; petit exercice qui peut éventuellement permettre de briller en société.

D'ailleurs, pour ceux qui ont connu les « récitations » d'antan, il revient plus spontanément en mémoire « La Cigale et la Fourmi » que les « Pensées » de Pascal et « Après la bataille » (vous savez bien : Mon père ce héros...) que les « Nourritures terrestres » d'un certain André Gide, que je respecte au demeurant.

On peut, en rime, aborder tous les sujets, des plus futiles aux plus sérieux, et l'écriture en vers assure dans ses assonances une ouverture à l'humour qu'ont, de tout temps, pratiqué troubadours et chansonniers. Je vous invite à vous en assurer dans les pages qui suivent.

Quant au dictionnaire impertinent et aux pensées « gauloises », ils complètent l'irrévérence de certains textes en vers par un delirium, pas si mince que ça, auquel nombre de pisse-froid médiatisés feraient bien de s'adonner de temps à autre.

Laissez-vous aller, ça ne coûte pas cher et c'est thérapeutique ! Mais hélas ! pas encore remboursé par la « Sécu ».
J. P.

Du même auteur : Jean Pérez