Quatrième de
couverture
« Serge d'entre les morts impose une voix. [...] Cette voix, lancinante, répétitive, hyperbolique, crue, exaspérée, évoquant continuellement la mort, télescopant aussi bien les mots, les idées que les styles, n'attirera pas ceux pour qui un texte littéraire doit proposer à ses lecteurs un sain divertissement. [...] Pour les "autres lecteurs", on dira qu'il s'agit assurément d'une des plus intenses réflexions sur le deuil produites par la littérature québécoise, une narration enragée sur la mort et contre celle-ci. » Jean-François Chassay(extrait de la préface)