Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 285 pages
Poids : 300 g
Dimensions : 13cm X 19cm
ISBN : 979-10-90998-15-5
EAN : 9791090998155
Quatrième de couverture
Pierre-Yves De Murcia est né à Montbéliard et depuis une dizaine d'années il exerce les activités de comptable à Besançon.
Passionné de course à pied et de littérature, il nous propose ici un premier roman dans lequel il nous invite à pénétrer la passion des sportifs amateurs, leur ténacité devant l'effort, leurs doutes dans l'adversité et surtout la manière dont ils savent transférer l'esprit sportif dans le quotidien de leur vie personnelle.
Thomas est complètement accro à la course à pied.
Dès qu'il a un moment de loisir, il chausse ses baskets pour se lancer en petites foulées dans la ville, soit seul, soit en compagnie de son inséparable ami Esteban, au grand désespoir de sa compagne Adeline qui le trouve trop souvent absent. Mais un beau jour, il sent ses forces décliner et a du mal à accepter l'effondrement de ses performances. Il accepte enfin de suivre les conseils d'Adeline et de consulter.
Le diagnostic tombe comme un couperet.
Comment gérera-t-il les différentes phases de ce traitement très lourd qui va chambouler son rythme de vie et son rapport aux autres, à commencer par l'équilibre de ses relations avec Adeline ?
« Il décida alors de monter au Fort de Chaudanne. Vêtu de son gilet réfléchissant, il démarra l'ascension par la montée Jean de Gribaldy. Quelques voitures le doublaient, éclairant un instant son chemin : des gens qui regagnaient leur domicile. Il devinait alors à quelle distance se trouvait le prochain virage. Le manque de visibilité l'obligeait à se concentrer sur ses pas comme s'il devait instinctivement deviner la présence d'un obstacle et éviter ainsi de se tordre la cheville.
...
La nuit tombait sur Besançon, la ville commençait à revêtir son habit nocturne, s'apprêtant ainsi à vivre les changements que toute ville connaît.
Une autre population prenait possession des lieux et les bars s'animaient.
Ce début de soirée n'en était que la transition. Tout en montant, il regardait les lumières scintillant sur la ville, c'était beau. Mais il savait que tout en haut, ce serait encore plus beau. C'est un point de vue qui se mérite ! se dit-il... »