Transhumances du deuil

« Le choix s'est fait au fil de mon plaisir, plaisir à relire, à repenser ou à rejeter, découper, recoller autrement... j'ai toujours été adepte du patchwork, ma muse est infidèle et volage. On trouvera des essais d'amitié avec les Arts de l'ouïe, du regard, du jouir ou du pâtir, le mien autant que celui de patients qui m'ont fermement éduqués.

Commencer par musique, cinéma et littérature, c'est rendre hommage à mes mariages d'amour ; retomber dans le chaudron freudien et sa suite, c'est reconnaître ce trajet de survie, au sujet duquel j'aimerais qu'analyste, analysant ou lecteur sachent que cela peut durer un demi-siècle pour apurer les pires du Destin. »