Rayon Economie des industries et des services
Un design, un destin : la saga Ikea

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 350 pages
Poids : 542 g
Dimensions : 16cm X 24cm
EAN : 9782840986270

Un design, un destin

la saga Ikea


Paru le
Broché 350 pages
traduit du suédois par Jean-Pascal Bernard, Anne Lavédrine
Tout public

Quatrième de couverture

La grange est vide, mais la forêt qui l'entoure demeure aussi touffue et sombre que lorsqu'il empruntait jadis ses sentiers mystérieux pour se rendre à l'école. Le silence y règne toujours en maître, plus souvent troublé par le brame des chevreuils que par le vrombissement des moteurs de voitures ou de tracteurs. Voilà la contrée reculée qui abrita la naissance de l'empire IKEA.

La terre de moraines qui vit naître Ingvar Kamprad respire la solitude, le silence et l'austérité, que seul éclaire de temps à autre le vert tendre d'un pâturage entrevu à travers le feuillage d'un bouleau pleureur. Les chaumières y sont modestes, les champs caillouteux, et la survie n'y fut jamais considérée comme un fait acquis...

C'est au cœur de cet univers que le rêve d'IKEA prit forme. Aujourd'hui, l'entreprise emploie quelque 44 000 salariés dans 150 magasins disséminés dans trente pays et sur quatre continents. Avec un tirage avoisinant les 100 millions d'exemplaires, son catalogue draine chaque année dans ses temples plus de 195 millions de consommateurs, dont les achats se montent à près de 50 milliards de FF (7,6 milliards d'euros). Au deuxième semestre 1999, cinq nouveaux magasins ont vu le jour, dont l'un au cœur de la bouillonnante Shanghai, à une vingtaine de milliers de kilomètres des paisibles forêts d'Elmtaryd, où tout a commencé.

Mais ce livre n'est pas seulement l'histoire d'une gigantesque réussite commerciale. Il retrace le destin d'un garçon parti les mains vides, débordant de rêves et mû par un formidable esprit d'initiative. Un génie hors pair, un conquérant, un incorrigible capitaliste en quête de profits et de pouvoir, mais aussi un homme généreux, résolu à en découdre avec le dénuement et le misérabilisme.

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