Rayon Histoire de France
Un soldat de l'empereur : Jean Chevalier : paysan berrichon et chasseur à cheval

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 126 pages
Poids : 360 g
Dimensions : 21cm X 30cm
ISBN : 978-2-905445-43-8
EAN : 9782905445438

Un soldat de l'empereur

Jean Chevalier
paysan berrichon et chasseur à cheval


Paru le
Broché 126 pages
préface Guy Gross
Tout public

Quatrième de couverture

Un homme, ayant tout vu et tout fait, apprend tout à coup que son voyage de gloire est fini. Loin d'hésiter, il s'en revient au point de départ, laisse tomber par terre son bagage de soldat, se dépouille de son uniforme et reprend tranquillement la charrue.

Le présent ouvrage a été originellement publié en 1930 par l'éditeur parisien Firmin-Didot et Cie.

Son auteur, Pierre Chauveau, aujourd'hui décédé, l'avait alors dédié à Georges d'Esparbès (« en hommage au grand barde de l'Épopée »), Conservateur du palais de Fontainebleau, qui avait préfacé l'ouvrage.

Il contient les souvenirs de Jean Chevalier, né le 26 juin 1785 au Fouillet d'Azy, dans le Cher, décédé dans sa vigne le 9 octobre 1855.

Souvenirs militaires, mais aussi souvenirs civils, transmis oralement par sa veuve à sa famille, recueillis par le père de Jean Chauveau, et retranscrits par ce dernier avec grand talent.

N'ayant pu trouver des héritiers de Monsieur d'Esparbès, nous ne nous sommes pas crus autorisés à insérer sa préface dans cette réédition.

Qu'on nous tolère seulement deux citations de son texte qui résument bien les qualités de l'ouvrage :

Je t'affirme par mon cceur qui bat : cette histoire de Jean Chevalier prendra place d'honneur dans le rustique panthéon des récits de troupiers qui assistèrent aux campagnes de la République et de l'Empire, de 1792 à 1815.

Je place au premier plan les descriptions de son pays que nous donne M. Chauveau. Vous respirerez en les lisant l'odeur des « grandes plaines fromenteuses du Berry » ; vous reconnaîtrez combien était pénible l'existence des « vignerons courbés qui grattaient le caillou du pointu de leur bigorne, pour permettre à l'esprit du sol de monter dans les ceps ».
Cercle généalogique du Haut-Berry, 2010.

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