Rayon Observatoires et procédés d'observation
Univers : de l'oeil nu au télescope spatial infrarouge James-Webb

Fiche technique

Format : Relié sous jaquette
Nb de pages : 359 pages
Poids : 2630 g
Dimensions : 25cm X 33cm
ISBN : 978-2-88975-607-0
EAN : 9782889756070

Univers

de l'oeil nu au télescope spatial infrarouge James-Webb


Paru le
Relié sous jaquette 359 pages
infographies de Matteo Riva
traduction Christine Favart-Lorenzi et Baptiste Levy-Gastaud
Tout public

Quatrième de couverture

Fermez les yeux

Imaginez-vous, l'espace d'un instant, à la préhistoire dans la peau d'un homme ou d'une femme des cavernes, quand l'unique source de pollution lumineuse (le terme est un peu fort) se limitait aux feux brûlant toute la nuit pour tenir chaud et éloigner les bêtes sauvages. Levez-les yeux vers le ciel et laissez-vous submerger par l'océan d'étoiles.

Ce livre est une invitation à parcourir la relation unissant l'homme au ciel. Tout d'abord à travers ses yeux, son imagination, ses peurs, ses croyances. Ensuite, au cours des quatre siècles derniers, à l'aide d'instruments des plus rudimentaires, tels que les lunettes astronomiques, puis grâce aux radiotélescopes de dernière génération et aux télescopes spatiaux, comme le James-Webb, afin de sonder les profondeurs de l'Univers jusqu'au fond diffus cosmologique d'où nous parvient encore l'écho du Big-Bang.

Une course sans fin qui, ces derniers temps, a pu bénéficier de dispositifs ne capturant plus la lumière mais tentant en revanche d'intercepter des particules insaisissables - les neutrinos - ou de détecter les ondes gravitationnelles engendrées par des événements d'une énergie inimaginable, comme les fusions de trous noirs ou d'étoiles à neutrons. Aujourd'hui, le défi à relever consiste à voir l'invisible, la matière noire et l'énergie noire qui imprègnent le Cosmos sans laisser de traces tangibles de leur présence. Un voyage qui dure depuis des milliers d'années et qui pourrait bien ne jamais se conclure. Et si ce voyage ne faisait que commencer ?

Couverture Le JWST a eu recours à sa caméra infrarouge proche et à sa caméra infrarouge moyen pour aller sonder la structure des piliers d'hydrogène moléculaire, au coeur de la nébuleuse de l'Aigle. Des myriades de jeunes étoiles, jamais révélées par les images optiques, se détachent et surgissent des nuages. © NASA, ESA, CSA, STScl, J. DePasquale (STScl), A. Pagan (STScl), A.M. Koekemoer (STScl)

Quatrième de couverture Deux protoétoiles se nichent au centre de l'image de la NIRCam, représentant l'un des objets Herbig-Haro les plus étudiés de l'histoire de l'astronomie. Situées à 1 470 années-lumière de nous, dans la constellation des Voiles, ces deux jeunes étoiles se trouvent au centre de l'image, là où émergent les disques de diffraction rose fuchsia. Les jumelles ne sont pas visibles dans l'image car elles sont immergées dans le disque de gaz et de poussière qui alimente en permanence leur croissance. Lorsque la matière absorbée par les protoétoiles devient excessive, elles réagissent en rejetant une partie de la matière capturée dans l'espace environnant. C'est ainsi que naissent les longs jets qui s'étendent sur les côtés de l'image. © NASA, ESA, CSA, J. DePasquale (STScl)

Biographie

Marina Costa est à la tête de Progetto Cassiopea, une société spécialisée dans l'enseignement et la vulgarisation scientifique, qui gère l'activité d'un planétarium itinérant modèle Starlab dans les établissements scolaires ainsi que l'ensemble des projets pédagogiques de l'Observatoire astronomique Righi (Gênes) et les animations de son planétarium. Elle produit également des scénarios et documentaires pour les planétariums, en particulier pour le modèle LSS d'Immersive Adventures. Depuis avril 1999, elle pilote divers projets pédagogiques et de vulgarisation de l'astronomie pour l'INFM (Institut national de physique de la matière), l'INAF (Institut national d'astrophysique), ENEL, l'Aquarium de Gênes ainsi que pour des municipalités, directions pédagogiques et bibliothèques de Ligurie et d'autres régions italiennes. Elle a également coordonné le parcours de formation et de sélection de tous les animateurs scientifiques de la première édition du Festival des Sciences de Gênes (2003).

Walter Riva est directeur de l'Observatoire astronomique Righi et président du Planétarium Antikythera. Il est en charge de l'organisation d'événements culturels et de l'offre de formations à l'Université de Gênes. Il a à son actif des dizaines de conférences sur l'astronomie et une activité d'accompagnement du public dans les observations du ciel. Il a obtenu un master en communication scientifique auprès de la SISSA de Trieste avec une thèse sur les planétariums, auprès desquels il exerce des missions de consultant. Il collabore, sur ces thèmes, avec le quotidien Il Secolo XIX et est directeur éditorial du magazine Le Stelle. Depuis octobre 2019, il occupe le poste de rédacteur en chef du magazine Cosmo édité par BFC Space.

Avis des lecteurs

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