Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 256 pages
Poids : 390 g
Dimensions : 16cm X 24cm
ISBN : 978-2-87461-136-0
EAN : 9782874611360
Vaccins, on nous aurait menti ?
l'avis d'un avocat, que cache l'hystérie covidique de l'année 2021 ?
11 vaccins obligatoires, l'inconscience politique ! Vaccins peu efficaces et toxiques ? Comment scolariser nos enfants sans les empoisonner, tout en respectant la loi ? Mode d'emploi
Quatrième de couverture
Vaccins...on nous aurait menti ?
À l'automne 2021, le gouvernement impose en France le pass sanitaire, et la vaccination Covid obligatoire de fait. Des millions de gens défilent dans les rues pour contester, le gouvernement les ignore. Quelle belle démocratie. Comment réagir face à ce pass sanitaire, découvrez-le dans ce nouveau chapitre 6.
Au printemps 2020, une hystérie collective avait plongé la France dans la terreur : un nouveau virus allait tous nous décimer, et, selon les médias, il n'y avait ni traitement, ni vaccin. Très vite, de nombreuses contradictions et incohérences nous ont interpelés : masques officiellement inutiles au pic de l'épidémie, puis devenant obligatoires à la fin de celle-ci, négation des traitements efficaces, Omerta médiatique concernant les professionnels de toutes régions contestant les mesures liberticides, etc... Bref, progressivement, il est devenu évident que tout ce cinéma n'avait pour but que de nous imposer un vaccin. Mais cela n'est pas la panacée, car le vaccin se révèle moins efficace que prévu et perd rapidement de son efficacité. En Europe, chiffres officiels souvent en dessous de la réalité, le nombre de décès dus au vaccin au 1er septembre 2021 est de plus de 20 000 ; on recense 2 millions d'effets secondaires dont 800 000 irréversibles.
En effet, nous devons déjà depuis 2018, administrer à nos enfants 11 vaccins obligatoires. L'être humain serait-il si mal conçu, qu'il faudrait dès la naissance, lui injecter autant de produits chimiques pour qu'il survive ?
Mais alors pourquoi avons-nous survécu aux épidémies de peste, de choléra, de suette picarde, de scarlatine, de grippe espagnole, de pneumopathie atypique, plus récemment à Ebola, pour lesquelles il n'y avait pas de vaccins ? Nous cacherait-on nos capacités naturelles d'auto-guérison ?
« La vaccination, ça ne se discute pas ! » déclarait Marie-Sol Touraine, Ministre de la Santé, courant 2016 et pourtant... pourquoi nous cache-t-on tous ces cas de personnes vaccinées qui ont quand même contracté la maladie, et tous ces cas de personnes handicapées à vie après un vaccin ?
De plus en plus d'enfants sont hospitalisés en urgence à la suite d'une vaccination. Certains restent handicapés à vie. Le nombre d'enfants autistes augmente de manière inquiétante. Comme par hasard, ces enfants avaient presque tous reçu, un ou plusieurs vaccins juste avant l'apparition des 1ers symptômes. Mais nos grands experts y voient des coïncidences !
De nombreuses incohérences et contradictions imprègnent la question des vaccins, heurtant notre bon sens : ainsi la présence de tout produit pourtant retiré des médicaments ou des produits cosmétiques (aluminium, mercure) ou des vaccins animaux à cause de sa toxicité, semble normale dans un vaccin pour nos enfants.
Les vaccins sont dangereux. On le sait aujourd'hui. Mais s'ils sont inefficaces, pourquoi les imposer ? Que faire lorsque nous découvrons que l'on nous oblige à recevoir des produits inutiles et dangereux ? Comment inscrire nos enfants à la crèche ou à l'école, sans les obliger à recevoir des produits toxiques et peut-être inefficaces ?
Est-ce un hasard si les décideurs sont, ou ont été sponsorisés par l'industrie pharmaceutique ?
Tout juriste de bonne foi reste perplexe face à ces incohérences, mais, à entendre nos politiques... « La religion vaccinale, ça ne se discute pas »