L'homme qui voulait nous rendre fiers : dernier Noël à l'Elysée ?

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 382 pages
Poids : 652 g
Dimensions : 15cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-913305-88-5
EAN : 9782913305885

L'homme qui voulait nous rendre fiers

dernier Noël à l'Elysée ?

de

chez J.-P. Vasseur

Paru le | Broché 382 pages

Tout public

20.08 Indisponible

Quatrième de couverture

Le saviez-vous ? Jusqu'au printemps 2007, nous avions perdu la fierté d'être français. C'est en tout cas ce qu'affirmait celui que 53% des électeurs français venaient alors de choisir comme chef de l'Etat pour les cinq années à venir. Il avait même fait de la fierté l'un des quinze principaux points de son programme électoral. Il avait martelé ce slogan tout au long de la campagne et, le soir de son élection, il déclarait dans son premier discours présidentiel : « J'éprouve depuis mon plus jeune âge la fierté indicible d'appartenir à une grande, vieille et belle nation, la France... Je veux remettre à l'honneur la nation et l'identité nationale. Je veux rendre aux Français la fierté d'être Français. »

Cinq ans plus tard, au moment où commence une nouvelle campagne électorale, il est plus intéressant que jamais de savoir ce qu'est devenue sa singulière promesse. L'étude d'un sujet aussi transversal permet - à la lumière des évolutions économiques, sociales, morales ou intellectuelles intervenues depuis 2007 - une approche globale de ce que l'ère Sarkozy a apporté - ou retranché - à notre pays. Dans quels domaines, les Français auraient-ils des raisons de se sentir plus fiers d'eux-mêmes, de leur pays ou, plus accessoirement, de leur chef de l'Etat qu'il y a cinq ans ? C'est à ces questions simples que le livre de Lucas Stoa apporte des réponses. Elles sont toujours basées sur des faits et des événements précis et abondamment illustrées par les déclarations réelles du personnage central.

Lucas Stoa : sous ce pseudonyme transparent se cache un agrégé d'allemand passionné d'histoire et de politique. Alternant humour et gravité (le style et l'action du président se prêtent très bien à cette ambivalence), il ne cherche évidemment pas à cacher ses propres sentiments vis-à-vis du mode d'exercice du pouvoir qui s'est développé depuis 2007. Sa bonne connaissance de la presse étrangère et de la politique allemande lui permet aussi de dresser un portrait très révélateur de la manière dont nos voisins perçoivent Nicolas Sarkozy. Mais au-delà de l'humeur personnelle, la priorité absolue est donnée aux faits. Ils ont été si nombreux et souvent si inimaginables qu'il est indispensable de bien se les remémorer au moment où s'engage une campagne électorale dont l'enjeu essentiel sera de savoir s'il est souhaitable de conserver le même chef d'Etat pour cinq années supplémentaires.